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dimanche 14 septembre 2014

Une révélation de taille Me Robert Bourgie au different Macky Karim

Me Robert Bourgi s’explique, dans un entretien avec nos confrères du Soleil sur l’affaire Karim Wade, l’avocat a déclaré que le président Macky Sall lui a demandé de dire à Karim de se rapprocher de lui et d’accepter un deal s’il a détourné ou amassé de l’argent de manière frauduleuse… Extrait d’entretien Êtes-vous en train de jouer un rôle souterrain pour faciliter le dialogue entre Macky Sall et la famille Wade ou œuvrez-vous pour faire sortir Karim Wade de prison ? Vous me permettrez d’abord de rétablir la vérité par rapport à un journal sénégalais qui disait, dans une de ses éditions, que Macky Sall m’avait envoyé voir Karim Wade pour un deal. Je vous dis tout de suite que c’est faux ! Jamais, je dis bien jamais Macky Sall lors de nos entretiens n’a formulé une telle demande encore moins eu une parole désobligeante à l’endroit du président Wade. Lors de son premier passage à Paris en tant que président de la République du Sénégal, je suis allé avec François Fillon rendre visite à Macky Sall. Il m’a dit ceci : «Dis à Karim de se rapprocher de moi et d’accepter un deal s’il a détourné ou amassé de l’argent de manière frauduleuse. Nous sommes prêts à discuter avec lui». Le jour même, Karim Wade se trouvait à Paris, je l’ai appelé et il est passé me voir dans l’après-midi. Je lui transmis le message du président Macky Sall et il m’a répondu en faisant le signe de la main «zéro plus zéro égale zéro». Je lui dis Karim, ça ce n’est pas une réponse. Dès ton retour à Dakar, demande à voir Macky Sall, il te recevra et tu parleras avec lui en toute sincérité. Il ne faut pas rompre les ponts ou fermer les portes. Depuis, Karim Wade n’a pas donné suite à cette demande et voilà où ça le mène. Je ne peux pas me mêler de ce qui ne regarde pas, la justice suit son cours de façon indépendante mais je ne pense pas sincèrement que Karim Wade est à sa place en prison. Je suis même allé jusqu’à dire au président Macky Sall qu’il y a une opération de victimisation de Karim Wade qui pourrait être un boomerang pour son gouvernement. Aujourd’hui, je crois qu’il faudrait sortir Karim de la prison et le mettre, s’il le faut, à la disposition de la justice car de toute façon, il ne fuira jamais le Sénégal. Etes-vous prêt à faire la médiation entre le président Macky Sall et la famille Wade ? Franchement, je n’ai plus vu le président Wade depuis qu’il a quitté le pouvoir. Je ne lui ai jamais rendu visite à Versailles. Mais, si les deux parties pensent que je peux faire quelque chose, je suis prêt à jouer ce rôle pour le bien être de notre pays car je suis avant tout pleinement sénégalais. Vous savez, le Sénégal est le pays phare de la démocratie et du dialogue social en Afrique. C’est un capital inestimable qui n’existe nulle part ailleurs. Je crois sincèrement en l’avenir du Sénégal et chaque fois qu’il y a une idée novatrice, comme le Plan Sénégal émergent par exemple, pour sortir le pays de la situation économique dans laquelle il se trouve, je suis pour et je la soutiendrai fortement. Ads by H12 Media

jeudi 11 septembre 2014

Le proces Karim vu de l hotel terroubi

Agréablement situé sur la corniche de la capitale sénégalaise, l'hôtel Terrou-Bi voit se croiser quotidiennement les principaux protagonistes du procès de Karim Wade, qui se déroule dans une ambiance à couper au couteau. À Dakar, jusqu'ici tout va bien… S'il se tient officiellement au Palais de justice de Dakar, à l'entrée du Plateau, le procès de Karim Wade a son annexe un peu plus au nord de la Presqu'île du Cap-Vert, sur la grande corniche, à l'hôtel Terrou-Bi. Pour suivre les péripéties de ce que le Sénégal considère comme "le procès du siècle", installez-vous confortablement à la terrasse du bar, face à l'océan, après 18 heures. Vous y verrez défiler l'aréopage judiciaire qui, depuis le matin, a rivalisé d'invectives devant la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei). >> Lire aussi : poussée de fièvre politico-militaro-judiciaire au Sénégal Après avoir remisé leur robe noire et déchargé le stress de la journée, les pénalistes y bavardent paisiblement en tenue décontractée, échangeant volontiers avec les journalistes de passage leurs impressions d'audience. Samedi, jour de relâche au tribunal, on pouvait y croiser l'un des avocats de l'État du Sénégal, l'élégant Simon Ndiaye, saluant quelques connaissances avant de prendre l'avion pour Paris le soir même. Deux jours plus tard, c'est une brochette d'avocats parisiens au service de Karim Wade, emmenés par le bâtonnier Pierre-Olivier Sur, qui y avaient pris leurs quartiers à l'heure de l'apéritif. Un mois plus tôt, un autre ténor du barreau parisien, William Bourdon, défenseur de l'État du Sénégal, y tenait conciliabule. PaidVerts Le Terrou-Bi, une résidence secondaire Au Terrou-Bi, l'un des spots pour VIP's de la capitale sénégalaise, il arrive qu'un ministre de Macky Sall qui y a ses habitudes côtoie sans le savoir un avocat de Karim Wade qui y réside à chaque passage dans la capitale. Pour un peu, l'un viendrait demander poliment à l'autre de lui prêter son coupe-cigare avant de s'en retourner à sa table délivrer diverses piques contre le camp adverse. Je rentre jeudi soir, sinon c'est le divorce. Pour les avocats français parties à la procédure, le Terrou-Bi est en passe de devenir une résidence secondaire. Quand l'un atterrit à Dakar, un autre décolle pour Paris. "Ah, c'est mon avion qui arrive ! ", s'exclame ainsi un avocat, depuis la terrasse, en désignant l'avion d'Air France en phase d'approche dans lequel il allait embarquer lundi soir. Certains de ses confrères, "terrou-bistes" depuis trois semaines, semblent l'envier. Ils ne se cachent pas de vouloir revoir Paris avant que le dossier Karim Wade ne finisse par compromettre leur vie de famille. "Je rentre jeudi soir, sinon c'est le divorce", lance l'un. "Moi, c'est déjà fait", ironise son voisin. "On nous avait indiqué que le procès durerait un mois", s'étonne une avocate, pas forcément au fait de la conception du temps qui prévaut au pays de la Teranga, où l'obsession des "toubabs" pour le respect des dates et des horaires passe pour une aimable lubie. Or au bout d'un mois, le procès Karim Wade n'a pas encore vu le moindre témoin défiler à la barre, alors que près d'une centaine sont censés s'y relayer. >> Lire aussi : ambiance empoisonnée au procès de Karim Wade Dès le premier jour, le président Henri Grégoire Diop avait annoncé la couleur : le procès durera le temps qu'il faudra, "nous sommes prêts à tout endurer". Le patriarche Jean-René Farthouat, défenseur de Karim Wade, s'était alors étonné à la barre de l'absence du moindre calendrier relatif aux interrogatoires des prévenus et témoins, a fortiori aux réquisitoire et plaidoiries. Pour un avocat parisien, le déroulement du procès de Karim Wade est nettement plus dépaysant que la terrasse du Terrou-Bi. De là à imaginer que les touristes étrangers viendront bientôt visiter la Crei, cette curiosité judiciaire sénégalaise… Une cohabitation raisonnable ? Chaque semaine ou presque, c'est également dans cet hôtel que se tiennent les conférences de presse improvisées par les deux camps après l'audience – le plus souvent par les défenseurs de Karim Wade, pour exprimer leur indignation face à la conduite du procès. Selon les jours, les avocats sénégalais ont le droit de s'exprimer ou doivent laisser la parole à leurs confrères français, leur bâtonnier étant très chatouilleux sur le sujet. En français puis en wolof, on aborde alors, selon l'actualité du jour, les exceptions de nullité, le privilège de juridiction de la Haute cour de justice ou encore les modalités de récusation du président de la Crei – comme mardi soir, où avocats de Karim Wade et de Bibo Bourgi se tenaient côte à côte, en présence de Viviane Wade, pour dénoncer dans un même élan la "partialité" de Henri Grégoire Diop. Après 18 mois de feuilleton judiciaire, la plupart des journalistes dakarois chargés de suivre l'affaire Karim Wade sont devenus des experts en procédure pénale. >> Lire aussi : Assane Dioma Ndiaye : "La CREI viole les principes élémentaires des droits de la défense" Reste à savoir s'il est raisonnable, dans le contexte d'extrême agressivité qui prévaut depuis un mois entre avocats de la défense et de l'État dans la salle n°4 du palais de justice, de laisser tout ce beau monde siroter son café ou son Mojito à quelques mètres de distance les uns des autres. Devant la Crei, la présence des forces de l'ordre et les interventions répétées du bâtonnier de l'ordre des avocats permettent d'éviter que le procès Karim Wade ne dégénère en bataille rangée. Mais au Terrou Bi, les personnels risquent de se trouver dépassés si d'aventure un avocat de Bibo Bourgi croisait, à la sortie d'un ascenseur, le très provocateur avocat El Hadji Diouf, qui a accusé lundi le complice présumé de Karim Wade, pourtant gravement malade et alité en plein tribunal, sous double perfusion, de faire "du cirque, du cinéma", s'attirant en retour le qualificatif de "fou du village" par la partie adverse. Une élémentaire exigence de maintien de l'ordre public n'exigerait-elle pas que le Terrou-Bi soit, le temps du procès, réservé à la défense tandis que l'hôtel Radisson, à quelques centaines de mètres de là, accueillerait exclusivement les magistrats de la Crei et les avocats de l'État sénégalais ? ______ Mehdi Ba, à Dakar

mardi 2 septembre 2014

Autorité spirituelle et pouvoir temporel : Harmonie ou unité ?

L’opposition des deux pouvoirs n’est pas quelque chose de vieille comme le monde comme l’affirme certains à tord. Mais ils étaient d’ailleurs, les deux pouvoirs qui ont du exister, non pas exercés par des individualités distinctes et différentes, mais au contraire contenus l’un et l’autre dans le principe commun dont ils procèdent tous deux et dont ils représentent seulement deux aspects indivisibles, indissolublement lié dans l’unité d’une synthèse à la fois supérieur et intérieur à leur distinction. C’est ce que la tradition hindoue désigne par la classe des HAMSA (classe détentrice du double pouvoir royal et sacerdotal) dont la réalisation spirituelle allait de paire avec leur réalisation corporelle. II est très important de noter qu’après cette scission qui a laissé apparaître l’Autorité spirituel et le pouvoir temporel, il devait malgré cela avoir une harmonie entre ces deux ; et donc bon de retenir que cette harmonie n’est que le reflet d’une « Unité ». Parler du rapport qui lie l’autorité spirituelle au pouvoir temporel, c’est évoquer implicitement la liaison qu’il y’a entre « intérieur » et «extérieur ». Entre ces deux entités il n’y a aucunement un parallélisme mais une dépendance du second vis-à-vis du premier. Le pouvoir temporelle, de la même matière que l’oreille puise sa raison d’être dans l’existence de l’ouie, les yeux de la vue, trouve sa raison d’être dans l’existence d’une autorité spirituelle qui est supra humain, car possédant des connaissances qui dépassent carrément le monde phénoménal et surtout confère à ces derniers sa toute puissance et son harmonie. Quand le pouvoir temporel se rattache à l’autorité spirituelle régulière il reçoit de cette dernière, l’influence spirituelle appelée dans la tradition extrême orientale « le mandat du ciel » ou encore la « barakha » dans la tradition musulmane qui donnait aux gens qui la recevaient, à l’instar des rois de France du moyen âge, la faculté de guérir par la simple imposition de main. Ceux qui fréquentent la voie mouride et ont vécu de telles expériences ne me démentiront guerre. Par cette influence donc le roi ou le gouverneur était doté d’une ouverture d’esprit qui lui donné une clairvoyance suffisante pour réussir toutes ses entreprises. L’exemple des rois de France qui avaient la faculté de guérir est une des preuves de ce que nous avançons. Encore mieux, ici au Sénégal tout prés de nous, la grande réussite de nos présidents dans l’échelle mondiale et plus particulièrement celle manifeste du président Abdoulaye Wade, n’a aucunement incité le monde actuelle et particulièrement les Sénégalais à chercher le pourquoi de cet aura de nos présidents qui relève d’une cause déterminante, insoupçonnée et non du hasard. Du premier président du Sénégal (Léopold Sédar Senghor), en passant au second, le président Abdou Diouf, jusqu’à la venue du troisième (Maître Abdoulaye Wade), tous se sont plus ou moins soumis à l’autorité spirituelle de la ville de Touba. Et ceci a commencé à partir de la rencontre de Serigne Touba avec le gouverneur à Saint Louis. C’est donc au cours de cette convocation du gouverneur qui, à ces temps était le représentant du pouvoir temporel, que Cheikh Ahmadou Bamba a entamé le comportement qui consistait, au delà de l’affirmation de sa ferme volonté à ne servir que Dieu, à restaurer l’ordre. C'est-à-dire soumettre le pouvoir temporel à l’autorité spirituelle. Jusqu’au moment donc où Cheikh Ahmadou Bamba fit son apparition, l’autorité coloniale avait parvenu à asservir ceux qui se devaient de refléter l’autorité spirituelle. Ce qui prouve cela c’est l’instauration de mosquées d’état qui, pour faciliter la compréhension, sont à l’image de la grande mosquée actuelle de Dakar. Ces mosquées d’état ont été instaurées afin de contrôler le mouvement islamique étant donné que l’Imam était choisi par les colons qui avaient donc une parfaite contrôle sur les sermons qu’il faisait devant la communauté musulmane. Avec l’apparition de Cheikh Ahmadou BAMBA au prés duquel se ruaient la masse qui exécutait ses instructions dans les moindres détails, les colons l’ont donc vu comme un élément dangereux qu’il fallait impérativement asservir au pouvoir temporel, le pouvoir colonial. C’est devant cette tentation d’intimidation et d’asservissement que Serigne Touba a fait encore preuve de l’existence des réalités transcendantales qui, de loin, sont au dessus des moyens matériels qui sont de l’apanage du temporel. L’histoire se répète pour ceux qui ne savent pas s’en souvenir. La raison d’être de cet article est une invite solennelle à méditation sur la situation actuelle du pays, le Sénégal, notre patrie, qui perd de vu cette nécessité de rapprochement du pouvoir temporel à l’autorité spirituelle. Le temps et la situation actuelle semble donner raison à Cheikh Béthio THIOUNE qui disait : « quand le pouvoir temporel et l’autorité spirituelle sont en symbiose, il a une parfaite harmonie dans ce pays » Le peuple sénégalais, par orgueil, n’a pas le droit d’être amnésique des alertes lancées en guise d’avertissement par ce noble GUIDE averti. L’aveugle qui refuse de tendre sa perche au clairvoyant dans une traversée de la route, risque toujours la catastrophe pour lui et pour tous ceux qui le suivent. Les pleurnichements et lamentations du groupe keur gui dans leur nouvel album, alors alliés de ce régime dirigeant, ne me démentiront guerre par rapport à cette assertion que je viens d’évoquer. Je rends grâce d’avoir fait parti de ceux qui ont suivi, au delà de toute intimidation, le ‘’NDIGEUL’’ (orientation éclairée) de Cheikh Béthio THIOUNE, l’investi. A suivre……… (Lire l’article ‘’ Etude analytique de l’apologue du « paralytique » et de « l’aveugle ») Babacar GAYE Administrateur Financier, de Fonction Diplômé du CESAG/ISCBF (Institut Supérieur de Banque et Finance) 13 partagesJe n’aime plusJe n’aime plus · · Partager Vous, Pretty Kals, Samuel Lopes et 8 autres personnes aimez ça. Afficher 6 autres commentaires Diagne Medastuff on en apprend tous les jours je ne s aurai répéter les dires de certains pour prétendre me frayer un chemin dans la voie qui mène vers Allah des lors que je suis incapable de me départir de ce monde temporel 22 août, 16:22 · J’aime · 2 Moussa Sant Serigne Saliou bonne vision maiscomme disait notre vénéré cheikh à ton egard 90 pourcent des gens ne comprenne pa se que tu dit car c'est basé sur un vecu et une philosophie d'un vraie erudie l'instar des grands soufis machalla.les deux pouvoirs selon moi ne peuven...Voir plus 23 août, 15:37 · J’aime · 2 Bpensif Ridial Akassa segn Moussa! Quelle analyse approfondie tu viens de nous faire bénéficier. Ta contribution montre encore une fois qu’être âgé ne rime point avec maturité. Tu es en termes d’âge, très jeune. Mais ta sobriété et ton sens de perception et de contri...Voir plus 24 août, 10:24 · Je n’aime plus · 3 Diagne Medastuff thiey Mouride kham kham ak khalat ci degre you kawe yi ma contanne ci dila lire diadieuf tawfekh!!! 28 août, 14:37 · J’aime

Etude analytique de l’apologue du « paralytique » et de « l’aveugle »

L’erreur grande est de penser que le pouvoir temporel et l’autorité spirituelle sont deux entités complémentaires sans savoir que le premier est une application du second et qu’il prend sa source du second. La notion de complémentarisme évoquée par certains se reflète dans l’enseignement occidental par rapport à l’apologue tant connu du paralytique et de l’aveugle qui évoque, dans une de ses significations, le rapport de la vie contemplative et celle active : L’action livrée à elle-même est aveugle, et l’immuabilité essentielle de la connaissance se traduit au dehors par une immobilité comparable à celle du paralytique. Le point de vue du complémentarisme est figurait par l’entre aide des deux hommes, dont chacun supplée par ses propres facultés à ce qui manque à l’autre. Si on applique cet apologue à l’occident et à l’orient, nous pouvons voir que le paralytique peut être assimilé à l’orient et l’aveugle à l’occident. Le fameux slogan mouride « Naga ligey ba melni do fi diok, te diamou yalla ba melni souba ngaye fatou » (travail avec enthousiasme et dévouement comme si tu ne quitterais point ce monde et attache toi à la dévotion comme si tu devais quitter ce monde du jour au lendemain) vient pour montrer comment il est indispensable pour l’équilibre de toute tradition d’allier la contemplation et le travail pour l’instauration de la félicité. Donc le modèle mouride est l’unique et seul modèle de société qui a reflété d’une façon claire cette harmonie. Tandis que l’occident, dans la parfaite « ignorance » volontaire des principes spirituels, tente par le travail de se créer son paradis, l’orient par contre, par une mauvaise compréhension des écrits sacrés, rejette paradoxalement tous les biens du monde pourtant émanant de Dieu, pour se lancer dans une contemplation extrémiste dans l’optique de gagner non pas un paradis sur terre, mais dans les cieux ; et à force de s’avancer dans cette optique, il se trouve, dans son inactivité envahi par la pauvreté intense, source de tous ces comportements fondamentalistes et terroristes qui ne sont aucunement en liaison avec la Grande miséricorde divine dont le proche orient par l’entremise de l’islam proclame tant. Pour ce qui concerne l’occident, elle a fini par atteindre le point de dégénérescence inconcevable laissant apparaître une civilisation sans vertu, ni respect de soi même qui s’enferme de plus en plus dans un matérialisme et individualisme fulgurant qui leur prive de ce qu’il y’a de plus indispensable dans la vie de l’humain : l’énergie spirituelle. Un corps sans esprit ne peut être voué qu’à la mort. Notons aussi que l’application cosmique de cette apologue suivant la tradition hindou renvoie à purusha et à prakriti, voir éliom et hydrogène pour ce qui est des deux éléments découlant du soleil symbole du principe unique. Cet apologue désigne le rapport qu’il y’a entre l’action et la contemplation, la première étant l’apanage du monde occidentale et la seconde celle des peuples orientales. Il désigne le rapport de complémentarité existant entre l’autorité spirituelle et le pouvoir temporel qui se fonde sur un entre aide des deux entités dont chacun supplée par ses propres facultés à ce qui manque à l’autre. Si la conception du complémentarisme est une erreur, celle de l’occident qui donne au temporel, à la connaissance de l’action la suprématie sur l’autorité spirituelle est encore pire. Nous rendons grâce à Serigne Saliou Mbacké d’avoir régler cette problématique par l’instauration de ‘’KHEL-COM’’ dont l’analyse, au delà du fait qu’il soit un nom de champ, est une orientation pratique de la nécessité de joindre la connaissance à l’action pour un développement harmonieux de l’individu qui de ce fait, réussira son exaltation verticale (communion avec la réalité divine) et son expansion horizontal (réalisation de sa condition de vie sur terre pour accorder à DIEU le culte exclusif indépendamment de l’influence de toute entité profane). La réalisation des projets suivants, en est une illustration pratique de cet enseignement : - La construction de la grande mosquée de SERIGNE SALIOU MBACKE à DJANATOU MAKHWA par CHEIKH BETHIO THIOUNE - La construction de la mosquée de NDIAREME par CHEIKH ISSA DIENE - L’érection de l’extravaguant champs de KHEL-COM par SERIGNE SALIOU MBACKE (en prélude la crise alimentaire annoncée par la FAO) - La construction de la GRANDE BIBLIOTHEQUE de TOUBA par CHEIKH ABDOUL AHAD - La Construction de la GRANDE MOSQUEE DE MASSALIK AL DJINANE à Dakar sous le Ndigeul du KHALIF GENERAL DES MOURIDE SERIGNE SIDY MOCTAR, adjonction fête simultanément de l’extension de la GRANDE MOPSQUEE DE TOUBA pour le doter de deux MINARETS qui porteront les minarets de cette GRANDE MOSQUEE au nombre de 7, le chiffre de l’accomplissement. J’en passe