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jeudi 29 octobre 2015

Ousmane Sonko, inspecteur des Impôts et Domaine : «Tout ce que les ministres de l’Economie, du Budget et de la Fonction publique disent est faux»

L’inspecteur principal des Impôts et Domaines, Ousmane Sonko, leader des Patriotes du Sénégal pour la transparence, l’éthique et la fraternité (Pastef), n’a pas mâché ses mots à l’endroit de certains ministres de la République qui font croire au public des informations sur le budget et la masse salariale du pays. Selon lui, ces informations que donnent les ministres Amadou Ba (Économie), Birima Mangara (Budget) et Viviane Bampassy (Fonction publique), ne sont pas fondées. « Toutes les informations que les ministres de l’Économie, du Budget et de la Fonction publique donnent sont fausses et tout ce qu’ils disent est faux », a-t-il déclaré. Selon lui, le Sénégal n’a jamais atteint 35 % de masse salariale. Et, la majeure partie de ceux qui ont été recrutés dans la fonction publique a été logée dans la catégorie matérielle et non dans la masse salariale. Et même si l’État a commencé à les intégrer dans la masse salariale, depuis 2013, le Sénégal est encore à 33,20 % du budget. Par rapport au Produit intérieur brut (PIB), l’inspecteur principal des Impôts et domaines a confié que la masse salariale du Sénégal rapportée au PIB est de 3 %. Et concernant le ratio nombre de fonctionnaires sur population totale, il a fait savoir que le pays est à 0,87 %. Autrement dit 0,87 % agents de la fonction publique pour 40 Sénégalais. Ce ratio, pour lui, est le plus faible au monde. Ousmane Sonko faisait face à la presse, ce jeudi 29 octobre, à Dakar, pour alerter et prendre à témoin l’opinion nationale sur la mal-gouvernance du régime de Macky Sall.

vendredi 11 septembre 2015

Situation catastrophique du Sénégal : Par devoir et pour la postérité ! - Par Saliou Mbacké Taïf

Notre pays, notre cher Sénégal, est en train d’écrire les pages les plus sombres de toute son histoire sous le regard complice de l’ensemble des forces vives de la nation. Des libertés publiques bâillonnées, la dignité des grands chefs religieux bafouée, une opposition harcelée, une presse aux ordres, des ONG réduites au silence, une population affamée, une industrie nationale en faillite, une agriculture à genoux, des acteurs du secteur informel traumatisés, une gouvernance arrogante, menaçante et même méchante… tel est le décor désastreux du pays de Cheikhoul Khadim. L’heure est venue pour que chacun et chacune des fils et filles de cette nation prenne ses responsabilités. En notre qualité de citoyen « ordinaire » (sic), nous avons pris la pleine mesure de la situation catastrophique dans laquelle se trouve notre cher Sénégal, et entendons assumer toute notre citoyenneté. Tous, comme un seul homme, le peuple doit se lever pour une reconstruction nationale. Aucun citoyen n’a le droit de rester les bras croisés et laisser les gouvernants actuels détruire ce pays. Inutile, ici, de préciser que le pouvoir actuel a réussi à infiltrer l’ensemble des cours religieuses. En effet, fidèle à son option de casser du « religieux », ce pouvoir, composé principalement de marxistes et de trotskistes, a élaboré et mis en œuvre une stratégie bien mûrie de musellement des autorités religieuses. Le pouvoir a, à cet effet, réussi à corrompre l’entourage de certains chefs religieux, et parvient ainsi à faire dire tout ce qu’il veut à certaines autorités religieuses, en s’appuyant sur une presse aux ordres. Il a également réussi la diabolisation de toutes les forces religieuses progressistes. Cependant, il faudrait bien que ce pouvoir et ses alliés sachent que nous avons bien compris leur jeu et nous ferons face avec honneur, dignité, abnégation, sérénité et intelligence. Nous ne doutons point qu’après publication de ce texte, ils enverront leurs chiens de gardes sur nous pour nous diffamer, nous insulter, nous injurier. Alors nous leur demandons, par anticipation, d’économiser leurs énergies, car ce combat là sera un long combat et nous sommes décidés à payer le prix qu’il faut pour sauver ce pays. Toutefois, que ce pouvoir sache qu’il ne réussira jamais sa sale mission de ternir l’image de la communauté religieuse sénégalaise en poussant les uns et les autres à se tirer dessus. Nous appelons, ainsi, tous les chefs religieux à prendre publiquement position et à prendre leur responsabilité pour stopper les dérives autoritaires d’un pouvoir sans foi ni loi. Nous avons en mémoire la célèbre mise en garde de Gaïndé Fatma à l’endroit des dignes fils de ce pays, qui leur disait s’ils n’investissent pas l’espace public, d’autres moins valeureux le feront à leur place et les gouverneront. Serigne Cheikh, le visionnaire ne savait bien dire ! Le moment est donc venu de s’organiser et de dire non. Il ne s’agit pas de se mettre derrière un quelconque leader politique, il s’agit de s’assumer et d’assumer nos responsabilités devant l’histoire et les hommes. Nous comptons, à cet effet, mettre sur pied une importante organisation dont nous publierons très prochainement les termes de référence. Chers frères et sœurs en l’Islam, tenez vous prêts pour engager cet important combat pour le salut national. Jarajeuf Serigne Touba !!! Saliou Mbacké Mohamed Taîf

dimanche 6 septembre 2015

Affaire Karim Wade : Les avocats de l’Etat du Sénégal remontent les bretelles du Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations Unies.

« Nous n’accepterons jamais d’être cernés par la corruption d’où qu’elle vienne et nous ne permettrons pas à ceux qui se sont enrichis sur le dos de l’Etat de profiter de l’argent du peuple…10 millions d’euros saisis, à Monaco, sur les comptes ouverts au nom de Karim Wade et de ses complices », révèle Maître Yérim Thiam présidant la conférence de presse de la forte délégation de juristes et d’avocats de l’Etat du Sénégal contre Karim Wade. « Le Sénégal n’est pas un Etat voyou », a –t-il martelé, hier, aux Nations Unies, avec Maître Simon Ndiaye du Barreau de Paris pour dénoncer l’avis no4/2015 (Sénégal) adopté le 20 avril 2015 par le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire. Un avis qui a déclaré la détention de Karim Wade d’« arbitraire » et qui demandait la « réparation » du préjudice subi par le fils de l’ancien Président du Sénégal. Pour l’Etat du Sénégal cet avis est « hasardeux et tendancieux ». GENEVE- (Suisse)- Les deux avocats désignés par leurs confrères ont fait face, mercredi, à la presse internationale, lors d’une conférence ayant suivi la séance d’explication entre les membres du Groupe de travail et la forte délégation sénégalaise présidée par l’Ambassadeur Mme Baba Cissé, nouveau représentant du Sénégal auprès des Nations Unies et de la Confédération Helvétique. (extraits de la rencontre avec la presse) Précision sur le rôle du Groupe de travail « L’avis a été exploité de manière qui ne correspond pas du tout à la réalité », a souligné Maître Ndiaye qui s’étonne que certains ont pu laisser croire que l’ONU avait pris une décision pour condamner le Sénégal face à Karim Wade « ce n’est pas l’ONU qui tranche, qui a donné une décision mais un Groupe d’experts qui a été mis en place par le Conseil des droits de l’Homme des Nations-Unies pour donner des avis sur des questions auxquelles il aurait été saisies ». M. Ndiaye souligne à l’envie que c’est donc un avis d’experts et pas une décision de justice ou une résolution des Nations-Unies. Un avis donc, qui n’a aucune force obligatoire, dit –il. Par ailleurs martèle l’avocat : « Cet avis ne dit pas que Karim Wade n’est pas coupable. Cet avis ( il le répète) ne dit pas qu’il faut libérer Karim Wade. Cet avis dit que la détention de Karim Wade aurait été trop longue et donc arbitraire. Mais nous pensons du côté de l’Etat du Sénégal que cet avis est le fruit d’une manipulation. C’est parce qu’il y a eu une désinformation que le Groupe de travail est arrivé à cette conclusion ». La méthode décriée du groupe de travail Les griefs présentés avec courtoisie et avec une certaine fermeté ( grâce aux conseils des diplomates, soulignent les avocats) tournent autour de deux points. Premièrement, il s’agit de l’approche du Groupe de travail. Sur ce point, la délégation sénégalaise a rappelé à ses interlocuteurs les méthodes qui régissent son travail. Et au niveau des ces méthodes, se trouve le principe de la coopération qui veut que lorsqu’un Etat est mis en cause que le groupe de travail puisse dialoguer avec cet Etat établissant ainsi un cadre de concertation et d’échange pour avoir des informations qui sont claires précises et qui soient correspondantes à la réalité. « Or, dans notre cas, nous avons été très surpris que le groupe de travail n’ait pas respecté sa jurisprudence habituelle. Nous savons que dans bien des cas, il relançait des Etats lorsqu’il y avait des retards. Le Sénégal n’a accusé que de quelques heures de retard. La réponse qui devait être reçue le 25 août est arrivée au Secrétariat du Groupe de travail le 26 août. Nous n’avons pas compris pourquoi le Groupe de travail n’a pas donné au Sénégal la chance d’être entendu et n’a pas pris en compte les notes et éléments qui lui avaient été fournis. Le deuxième principe est relatif au principe du contradictoire. Lorsqu’on a deux parties , il est important d’avoir la version de chacune, donc les éléments fournis par les deux parties et en tenir compte. « Or nous avons vu dans ce dossier que la source, en l’occurrence Karim Meïssa Wade a fourni une première demande avec un dossier et continuait d’en fournir même après le dépôt de la première note du Sénégal sans que ce dernier n’en reçoive notification afin de réagir ». La délégation du Sénégal regrette ainsi la rupture du dialogue constructif entre les parties prenantes à même de favoriser la coopération en vue de promouvoir et protéger les droits de l’Homme comme le souligne une note d’information du Groupe de travail. Le Sénégal a dénoncé, en conséquence, par voie diplomatique et avec « vigueur le traitement déséquilibré, incohérent, voire tendancieux et donc inacceptable que le Groupe a réservé à la cause dont il a été saisie. Les avocats ont précisé qu’au moment où la réponse du Sénégal n’était pas considérée par le groupe de travail, ce dernier a continué pendant près de 8 mois à recevoir de nouvelles notifications de la « source », en l’occurrence Karim Wade et ses avocats sans pour autant que le Sénégal objet de la plainte n’ait été avisé des nouveaux éléments versés au dossier. Ce qui fonde selon la partie sénégalaise : « un réel doute, voire une suspicion légitime sur l’objectivité et la célérité de la décision du Groupe de travail ». Un fond tronqué ? Sur le fond de l’avis donné par le groupe de travail, les avocats de l’Etat du Sénégal se demandent sur quelle base cet avis a t il été pris ? La réponse qu’ils en donnent, est qu’il est « pris sur une base parfaitement erronée et les pièces contenues dans le dossier en donnent la preuve. Par exemple cet avis dit que les visites rendues à Karim Wade auraient été réduites et que seuls sa mère et ses avocats lui rendaient visite pendant une certaine période. Cela est absolument faux et l’Etat du Sénégal en a apporté la preuve contraire ». Dans les documents que nous avons pu consulter, le Sénégal a informé le Groupe, sur la base du relevé des visites établi par l’Administration pénitentiaire, pour la période allant du 22 mai 2013 au 18 mai 2015 que le détenu Karim Wade a reçu 3.246 visites. « L’avis part aussi de prétentions que Karim Wade n’aurait pas de compte à Monaco. Nous avons dans le dossier de la CREI des éléments de preuve qui montrent bien que Karim Wade a des comptes à Monaco et en son nom. Et les exemples peuvent être multipliés », a déclaré Maître Simon Ndiaye répondant à une question de la Tribune de Genève. Mission accomplie ? Pour l’avocat Simon Ndiaye qui répondait au chef du Bureau de l’AFP à l’ONU : « oui car le président du Groupe nous a dit de manière très claire que le Sénégal était reconnu pour être le fer de lance en matière de protection des droits humains. Il nous a aussi affirmé que la lutte contre la corruption est un combat très important auquel l’ONU comme le Sénégal. Nous avons donc une convergence de vue sur ce point entre le Groupe de travail et l’Etat du Sénégal. Nous sommes arrivés à cet avis parce que le Groupe n’avait pas toutes les informations pertinentes que nous lui avons fourni aujourd’hui ». « L’Etat du Sénégal s’est plaint de la violation de certaines règles de droit mais comme on le sait ces règles sont sujettes à interprétation les uns, tirant ici à hue, et les autres là- bas à dia. Cependant tient à souligner Maître Yérim Thiam : « Les faits sont têtus et l’Etat du Sénégal qui n’est pas un Etat voyou et qui tient à le souligner a envoyé une réponse avec quelques heures de travail or la jurisprudence montre de manière constante que des Etats ont fourni des réponses et souvent avec des mois de retard, réponses qui ont été acceptées par le groupe de travail. L’Etat du Sénégal est donc particulièrement intrigué par le fait que pour la première fois dans l’histoire de ce Groupe qu’il est décidé de prendre une « sanction » celle consistant à ne pas prendre en compte pour une question de quelques heures la réponse de l’Etat du Sénégal alors que cette sanction n’est pas prévue dans les textes organisant le Groupe de travail ». En consultant les documents organisant le travail du Groupe de travail, il est noté que le Groupe est habilité à donner son avis si la réponse de l’Etat visé est en retard. Cependant il est aussi dit que l’Etat peut demander une prolongation de délai de réponse qui peut aller jusqu’à même deux mois. Par rapport à la jurisprudence, il est aussi vrai l’avis no 17/2012 (Burundi), le gouvernement burundais avait largement dépassé le délai, de même pour la France l’avis no23/2013 est arrivé avec deux jours de retard, des réceptions hors de délai de 8 jours pour l’Ouzbékistan, de 23 jours pour le Maroc etc, sans que le Groupe de travail refuse d’intégrer les éléments de réponses de ces Etats qui ont la même voix aux Nations Unies que le Sénégal ! Cependant, l’idéal pour tout Etat devrait être l’excellence en toute chance, le Sénégal y compris ! De même en bouchant les voix du dialogue indispensable avec le Sénégal, le Groupe de travail n’a t- il pas manqué de tact, et fait fi de sa propre jurisprudence ? Yérim Thiam expliquera que : « Le Sénégal n’a pas l’intention de se cacher ni de piétiner les droits de qui que ce soit mais nous n’accepterons jamais d’être cernés par la corruption d’où qu’elle vienne et nous ne permettrons pas à ceux qui se sont enrichis sur le dos de l’Etat de profiter de l’argent du peuple pour aller internationaliser un débat alors que le débat est tout simple chez nous. Monsieur Karim Wade a une kyrielle d’avocats qui sont parmi les meilleurs, une kyrielle de conseillers réputés, pour se faire défendre et il s’est défendu. Il a été condamné, car malgré tout, les faits sont têtus. Il a été condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite. Il a introduit une requête auprès de la cour de cassation même si ses avocats ont dit nous laissons les choses à l’état mais la cour a statué. Notre rôle était de venir montrer au Groupe de travail, même si nous le respectons, qu’il a été abusé par Karim Wade et ses avocats qui lui ont fourni des informations inexactes, et de lui signifier que le Sénégal est un Etat de droit qui a toujours respecté ses engagements au niveau international et a le plus grand respect pour les instruments qui ont été mis en place par les Nations-Unies. L’Etat du Sénégal n’est pas un Etat voyou et il ne faut pas lui donner une image qui n’est pas la sienne et qui ne correspond pas à la réalité ». Photo: Julien Fortunati Par El Hadji Gorgui Wade NDOYE, journaliste accrédité aux Nations-Unies, directeur du magazine panafricain en ligne www.ContinentPremier.Com El Hadji Gorgui Wade NDOYE - ContinentPremier.Com

lundi 31 août 2015

Deals et scandales sous le régime de Macky

L’histoire de MACKY et son terrain à Yoff est bien cocasse. Elle me rappelle celle de ce voleur surpris avec un mouton. Dès qu’on l’a hélé pour lui demander à qui était le bélier qu’il tirait, il a lâché la corde, et s’est enfui ! A peine en effet les journalistes l’ont-il interpellé à Kaffrine sur son patrimoine de sept milliards, qu’il s’est lancé dans une tentative de justification de sa fortune, en la réduisant péremptoirement à deux milliards, et il a fini en annonçant qu’il rétrocédait son terrain de Yoff à la Commune, pour qu’elle y réalise des infrastructures à caractère social. Pauvre TAHIBOU NDIAYE! Son procès n’en finit plus de connaître des rebondissements : le pouvoir aurait peiné à trouver un accord avec lui ou est-il plutôt effrayé par les conséquences de ses scandaleuses révélations surtout qu’il n’est pas prêt à plonger seul ? A vrai dire son cas est un cas d’école en matière de justice à double vitesse. Ce monsieur était juste un maillon de la chaine ; il n’avait ni la capacité d’octroyer un terrain, ni de décider de qui en serait bénéficiaire. La richesse de son patrimoine, pour un quasi subalterne du système devrait amener tout homme épris de justice à se poser la question de qui est responsable au premier chef de cet état de fait. Ce serait trop facile de sauter l’échelon de son supérieur hiérarchique, son patron disons, pour arriver directement à Me WADE. Le Directeur général des impôts et domaines de l’époque, dernier échelon de responsabilité administrative avant l’autorité politique n’a jusqu’à présent pas été inquiété. Ce monsieur a, au contraire, été promu : il est tout puissant Ministre de la République, pendant que TAHIBOU NDIAYE croupit en prison, victime d’une volonté délibérée de saper son moral, et d’en faire la victime expiatoire d’un deal à grande échelle impliquant des coupables qui ont réussi à se racheter une conduite, à la faveur de l’arrivée de MACKY au pouvoir. Il est vrai que le Foncier est un scandale dont la plupart des autorités politiques et administratives depuis 2000 ne sortira pas indemne. Le Colonel NDAW de la Gendarmerie a révélé l’étendue de la prédation foncière dont se sont rendus coupables ses supérieurs qui ont voulu l’y mêler, pour acheter son silence. Tous ces délinquants à col blanc ne seront jamais suffisamment protégés par leur fortune, demain. Plus dure sera la chute, simplement. De la Haute Cour de Justice à la CREI, il n’y aura que l’embarras du choix en effet. En cherchant coûte que coûte des coupables idéaux pour habiller son slogan de gouvernance sobre et vertueuse, MACKY a touché un élément qui n’est pas prêt de mourir sans vendre chèrement sa peau, et il a entraîné dans sa disgrâce tous ceux qui ont trempé dans le scandale foncier le plus grave de notre jeune histoire, au premier rang desquels son patron d’alors, dont la force de lobbying et la puissance financière ont servi son ambition obsessionnelle de devenir ministre. Bientôt, la tempête va s’abattre sur toute cette chaîne de complicité qui risque de faire beaucoup de dommages collatéraux. M. BA a t-il sacrifié TAHIBOU NDIAYE pour donner des gages de vertu ? L’émail s’est depuis lors écorné. Tout le monde, sauf peut être MACKY a démasqué le vrai caractère de ce monsieur, qui oscille entre affabulations, mysticisme et autres manipulations aux antipodes de la vérité. Malheureusement MACKY ne maitrise aucune situation. Il est, à l’exemple de ce héros de Victor HUGO emporté par les événements et soumis désormais à l’incertitude de la fortune ; il est « une force qui va ». Ce n’est pas en lâchant son terrain qu’il va échapper à la reddition des comptes fonciers, car nous n’avons jamais vu une chômeuse invétérée dans notre pays être propriétaire de deux villas grand standing, sans coup férir. Et ce scandale du foncier qui rattrapera tôt ou tard nos dirigeants actuels est insignifiant à côté de l’histoire de Petrotim, point de départ de la plus grande opération de prédation de nos ressources, pour l’enrichissement personnel d’une chaine de complices, au plus haut sommet de l’Etat. Une propriété du peuple sénégalais, de tous les sénégalais, notre pétrole, s’est retrouvée en effet par la magie de l’accession au pouvoir de MACKY et l’entrée de son frère dans les affaires, entre les mains d’une société puis d’autres intermédiaires, pour finir entre les mains d’une compagnie qui vient d’annoncer des réserves d’un milliard de barils de pétrole, soit une masse financière de 30 000 milliards de franc CFA ! Malheureusement, à force de tripatouillages, seuls 16% de ce montant reviendront à l’Etat du SENEGAL car, entre temps, ce patrimoine, par le subterfuge des décrets signés par MACKY pour la plupart et avec l’entregent de son frère serait passé, à force de spéculations, aux mains d’étrangers dont la sélection et les conditions d’entrée au SENEGAL sont des plus obscures. Ce n’est pas pour rien que parmi les conseillers de MACKY figure un certain magnat du pétrole. Ce n’est pas non plus par hasard qu’à la tête de l’Assemblée nationale on maintienne Moustapha NIASSE, un homme qui a bâti sa fortune dans le pétrole, qui dispose d’une solide expérience et d’une expertise avérées dans ce domaine. Disons pour lui qu’il s’agit de ce que les Ouolofs appellent une pierre qui abat deux oiseaux. En effet, sur la base d’un accord politique, les relations entre les deux hommes sous le sceau d’une allégeance revendiquée du second au premier n’auraient-elles pas d’autres soubassements financiers liés au pétrole ? MACKY ou son frère n’ont ni les compétences ni l’expertise pour opérer le montage qui va nous spolier de 25 000 milliards ; ces enjeux sont si énormes qu’il convient de se demander quelle est la collusion d’intérêts qui soutend certains compagnonnages cupido-politiciens, au premier rang desquels son tandem avec NIASSE ! Si tel ne serait pas le cas, qu’il en édifie les sénégalais, au lieu de traiter d’ « imbéciles » ceux qui ont refusé son diktat dictatorial pour une soumission sans conditions à MACKY. Aujourd’hui, l’argent est le sujet tabou de la République. Les marchés gré à gré battent des records et augmentent toujours de façon exponentielle. Qui les autorise ? Qu’est ce qui les justifie ? Ces marchés sont passés au bénéfice de qui ? A chaque fois que MACKY pour sa part parle d’investissements et de marchés, c’est parce que les entreprises qui en sont bénéficiaires sont étrangères. La magie du Partenariat public privé opère à tout va, sous son magistère ! Et le plus scandaleux est l’omerta qui entoure ces marchés. Je n’en veux pour preuve que le marché de l’autoroute Ila Touba, passé pour près de 400 milliards au bénéfice d’une entreprise chinoise exclue de tous les marchés financés par la Banque mondiale, pour cause de corruption avérée aux Philippines. En plus cette entreprise aurait bénéficié de concessions léonines, pour une durée de 25 ans. Les Sénégalais ne sont pas dupes. Il est certes vrai à l’endroit de MACKY que celui qui attrape un serpent n’a que faire du scorpion. Rappelons-lui simplement que brader le patrimoine de toute une nation en faisant fi des intérêts des générations futures est une trahison flagrante qui peut lui valoir demain un procès, pour haute trahison ! Rappelons lui aussi, ainsi qu’à ses ministres et autres hauts responsables experts en passation des marchés publics par entente directe, à la suite d’ABDOULAYE BALDE, que la CREI, dans les conditions où elle a jugé KARIM WADE et est en train de jeter en pâture des opposants ne sera pas supprimée. Je partage largement son avis. Quelque soit le scenario pour se maintenir au pouvoir, la reddition des comptes est une obligation inéluctable à laquelle ni MACKY ni NIASSE ni TANOR ni les autres composantes de Benno Bok Yaakar qui sont en train de se faire les complices de la dilapidation des richesses de notre pays et de la prévarication de nos ressources ne pourront échapper. Si vraiment MACKY et ses alliés voulaient un SENEGAL émergent, si vraiment la mise en place de fonds souverains l’intéressait et si véritablement il tenait à réaliser l’émergence du SENEGAL, la démarche aurait été autre. Je ne puis comprendre en effet que 84% des ressources tirées du pétrole vont s’évaporer vers d’autres horizons, pendant que le SENEGAL s’endette pour mobiliser difficilement les capitaux destinés à la concrétisation du Programme d’Actions Prioritaires du PSE. Au contraire, nous assistons chaque jour au spectacle lamentable de nos prétendues élites politiques, cette meute de courtisans éhontés préoccupés de prébendes, et suffisamment veules pour entrer dans un jeu de dupes avec MACKY, en espérant sournoisement tromper le peuple lucide qui observe et endure stoïquement les facéties de cette bande de faux amis. Pauvre SENEGAL ! Cissé Kane NDAO Président de l’Alliance Démocratique pour la République A.DE.R

mercredi 12 août 2015

2008 Human Rights Report: Sénégal

Sénégal BUREAU DE LA DÉMOCRATIE, DROITS DE L'HOMME ET DU TRAVAIL 2008 Country Reports on Human Rights Practices Rapport Le 25 février 2009 Ceci est la vue de base de texte. Changez maintenant au nouveau format, plus interactif. Partager sur Facebook Partager sur TwitterPartager Sénégal, avec une population estimée à 12,5 millions, est une république modérément décentralisée, dominée par un pouvoir exécutif fort. En Février 2007, Abdoulaye Wade a été réélu président lors d'une élection généralement considérée comme libre et équitable malgré des incidents sporadiques de violence et d'intimidation. En Juin 2007, le Parti démocratique sénégalais (PDS) a remporté la majorité des sièges lors des élections de l'Assemblée nationale qui ont été boycottées par les principaux partis d'opposition. Toutefois, les observateurs internationaux ont qualifié les élections de libres et transparentes. Les autorités civiles ont généralement maintenu un contrôle effectif des forces de sécurité. Le gouvernement a généralement respecté les droits des citoyens; Cependant, il y avait des problèmes dans certains domaines, y compris: traitement inhumain et dégradant des détenus et des prisonniers; prisons surpeuplées; détention pour enquête discutable et longue détention préventive; la corruption et l'impunité; limites à la liberté d'expression, de presse et de réunion; la violence domestique, le viol, le harcèlement sexuel et la discrimination contre les femmes; les mutilations génitales féminines (MGF); la maltraitance des enfants, le mariage des enfants, l'infanticide, la traite des personnes, et le travail des enfants. Les rebelles du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) et un groupe dissident, le Mouvement pour la libération du peuple de la Casamance, ont tué des civils, les vols commis, et harcelé les populations locales tout en luttant contre l'autre. RESPECT DES DROITS DE L'HOMME Section 1 Respect de l'intégrité de la personne, y compris la liberté à partir de: un. Privation arbitraire ou illégale de la vie Ni le gouvernement, ni ses agents commis des meurtres, motivés politiquement. Contrairement aux années précédentes, il n'y avait pas de rapports d'exécutions arbitraires par les forces de sécurité. Il n'y avait pas l'évolution de la 2007 cas suivants: le meurtre Janvier d'un jeune homme par un policier à Diourbel; la mort Avril en garde à vue de Dominique Lopy à Kolda; l'assassinat de Cheikh Ahmet Juin Tidian automne par les agents des douanes à Mbour; le meurtre de Juillet Abdoulaye Seck à Bignona; et la mort Décembre en garde à vue de Badara Diop à Kaolack. Les meurtres Décembre 2007 des Mamadou Sakho Badji et le conseiller spécial du gouvernement pour le processus de paix en Casamance, Cherif Aidara Samesidine Nema, étaient toujours sous enquête à la fin de l'année; un suspect est resté en détention provisoire. Au cours de l'année, la Division des investigations criminelles (DIC) n'a pas communiqué les résultats de l'enquête 2006 sur le meurtre de la police d'un marchand à Dakar, et aucune mesure n'a été prise contre les responsables. Selon les statistiques de Handicap International, il y avait quatre accidents de mines distinctes dans la région de la Casamance au cours de l'année qui a abouti à une mise à mort et quatre blessés. Le meurtre a eu lieu le 1er mai, quand un véhicule de tourisme à partir de Sindian voyage à la Gambie heurté une mine près du village de Toukara. Il n'y avait pas les efforts du gouvernement pour éliminer les mines terrestres au cours de l'année. Au cours de l'année rebelles du MFDC auraient attaqué des civils et des brigandages commis dans la Casamance. Le 15 mai, des rebelles du MFDC auraient tiré sur un groupe de villageois à la cueillette dans Camaracounda, entraînant la mort de Frédéric Mendy. Le 20 mai, les combats entre les rebelles et les soldats du MFDC dans le village de Niassaran (Djibidione) au nord de Ziguinchor a entraîné la mort de deux soldats. Les médias locaux ont rapporté au moins sept rebelles sont également morts dans l'attaque. Le 22 Juillet, des hommes armés ont attaqué des dizaines de voitures et des passagers ont volé entre Teubi et Tobor, au nord de Ziguinchor, tuant un passager. Le 23 Décembre, Mamdaou Sinna Sidibe a été tué lors d'une émeute violente pour protester contre les conditions de vie précaires et le manque d'emplois dans la région riche en minerais de Kédougou. Une enquête sur sa mort était en cours à la fin de l'année. Il a eu aucun développement dans le cas des rebelles du MFDC tuant le sous-préfet de Diouloulou Janvier., 2006 Les suspects avaient pas été identifié par la fin de l'année dans le Décembre 2006 enlèvement et l'assassinat d'Oumar Lamine Badji, président du Conseil régional de Ziguinchor. b. Disparition On n'a pas signalé de disparitions politiquement motivées au cours de l'année. Le gouvernement n'a pas pris de mesures pour résoudre les cas de disparitions plus âgés, en particulier dans la Casamance, liés aux forces de sécurité du gouvernement. c. Inhumains ou dégradants la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou La constitution et la loi interdisent de telles pratiques; Cependant, il y avait des rapports occasionnels que les responsables gouvernementaux les employaient. Groupes de droits humains ont noté des exemples de violence physique commis par les forces de sécurité, y compris les traitements cruels et dégradants dans les prisons et centres de détention. En particulier, ils ont critiqué fouille et d'autres méthodes d'interrogatoire. La police aurait également forcé des détenus à dormir sur les planchers nus, dirigée lumières à leurs élèves, les battre avec des matraques et les gardés dans des cellules avec un accès minimal à l'air. Au cours de l'année, les autorités ont pris aucune mesure contre les policiers impliqués dans ces abus. Les organisations des droits humains ont mis en évidence le manque de supervision et l'impunité avec laquelle les forces de sécurité traitées les personnes en garde à vue. L'Assemblée africaine des droits de l'Homme (RADDHO) a continué à exiger des poursuites pour la mort de deux suspects en garde à vue en 2007. Au cours de l'année, ils ont également dénoncé les mauvais traitements infligés par des gendarmes à Dakar sur l'ancien maire de la ville, Mamadou Diop, qui a indiqué qu'il a été déshabillé et a fait se coucher sur un sol en pierre. Les organisations des droits humains ont signalé des cas de torture par les forces de sécurité à la suite d'une émeute dans la ville de Kédougou sur Décembre 23. Selon l'organisation non gouvernementale (ONG) rapports, les membres des forces de sécurité qui portent des masques ont fait irruption dans les maisons des suspects, beat, arrêté, et les personnes soumises à de longs interrogatoires. Les preuves physiques des passages à tabac des suspects a été affiché lors de leur procès; Cependant, le tribunal a rejeté les allégations de torture formulées par les avocats. Le 7 mai, dans Camaracounda, des hommes armés appartenant prétendument à la MFDC mutilés 16 personnes en coupant une oreille de chaque titre de sanction pour la récolte dans la forêt occupée par les rebelles. Le 23 Juillet, l'Assemblée nationale et le Sénat a amendé conjointement la constitution pour permettre la poursuite rétroactive de génocide et de crimes contre l'humanité. Le 29 Juillet, l'Assemblée nationale a adopté une loi introduisant de nouvelles dispositions dans le Code de procédure pénale selon laquelle les accusés ont le droit d'interjeter appel dans une affaire entendue devant la Cour d'appel et les jurys ont été remplacés par des magistrats. Ces dispositions légales levé les derniers obstacles à la poursuite de l'ancien dictateur tchadien Hissène Habré sur des accusations de torture et de crimes contre l'humanité. Habré vit en exil dans le pays depuis 19 ans. Au cours de l'année, les autorités nommés juges pour enquêter sur l'affaire Habré; Toutefois, à la mi-Octobre, le gouvernement a déclaré la poursuite de Habré ne pourrait avoir lieu sans le financement des bailleurs de fonds internationaux. Aucune autre action du gouvernement a été prise par la fin de l'année. Une augmentation des attaques de rebelles présumés en Casamance sur les véhicules a été noté au cours de l'année. Ces attaques ont entraîné des blessures et vol de téléphones de l'argent, des bijoux, et de cellules. Aucune arrestation n'a été effectuée au cours de l'année. Il ya eu plusieurs cas de violence. En raison d'une faiblesse du système judiciaire et l'impunité généralisée, civils souvent administrés punition par des coups voleurs présumés avant de les remettre aux forces de sécurité. Prison et les centres de détention Conditions Prisons et les centres de détention conditions étaient pauvres, en partie parce que pas de prisons ont été construites depuis l'époque coloniale. L'Organisation nationale pour les droits de l'homme (ONDH) a identifié la surpopulation et le manque d'installations sanitaires adéquates comme des problèmes majeurs. La prison centrale de Dakar, qui avait une capacité maximum de 700 personnes, détenait environ 1400, tandis que le camp pénal de Dakar, qui avait une capacité de 400, a tenu environ 800 détenus. Pour remédier à la surpopulation carcérale à Dakar, les autorités transférés certains prisonniers à Thiès, ce qui a entraîné dans les prisons surpeuplées dans cette ville. Les militants des droits de l'homme a noté que la prison de Nioro était gravement surpeuplé et ressemblait à "un poulailler" plus qu'une prison. Détenus à Diourbel ont été parfois détenus dans une ancienne écurie; Les conditions de détention à Tambacounda étaient aussi extrêmement pauvres. Prisons manquaient de médecins et de la médecine. L'ONDH a déclaré un ratio national d'un médecin pour 5.000 détenus et que le gouvernement n'a dépensé que 450 francs CFA (environ 1 $) par jour et par détenu pour couvrir tous les coûts, y compris les soins médicaux. Il y avait un matelas pour cinq détenus. Grâce à une infrastructure vieille et surchargés, les prisons ont connu des problèmes de drainage pendant la saison des pluies et la chaleur étouffante pendant l'été. Prisons ont également été infestés par des insectes, et les prisonniers ont subi une agression sexuelle et extrêmement faible des aliments de qualité. Dans le cadre d'un plan d'investissement de trois ans, des fonds publics ont été fournis aux prisons pour les rénovations et les travaux de rénovation. Au cours de l'année la prison centrale de Dakar a reçu de nouveaux matelas et les détenus étaient en mesure de créer plus d'espace en construisant des lits superposés. L'ONDH, qui a visité six prisons au cours de l'année, a indiqué que la prison de Diourbel a également reçu de nouveaux matelas. L'ONDH a également noté que, pour la première fois, les inspecteurs des prisons ont été recrutés parmi les agents pénitentiaires, qui ont abouti à du personnel pénitentiaire atteindre le même niveau d'autorité d'application de la loi comme la police et les gendarmes. Les organisations des droits humains ont mis en évidence que certains enfants, qui ont commis des crimes ou qui ont été trouvés par la police tard dans la nuit dans la rue, ont été maintenus en détention pendant de longues périodes parce que leurs parents ne pouvaient pas être identifiés ou localisés. ONG locales ont signalé que les règlements de séparation des prisonniers ne sont pas toujours appliquées. Les prévenus ont été organisées occasionnellement avec des détenus condamnés, et les mineurs ont été organisées occasionnellement avec des adultes. ONG locales ont signalé que le viol des détenues était un problème grave pas abordé par les autorités gouvernementales au cours de l'année. Au cours de l'année, le gouvernement a autorisé les visites de prisons par des groupes de droits humains locaux et internationaux, qui a également fourni un soutien humanitaire aux détenus. ré. Arrestation ou détention arbitraire La constitution et la loi interdisent l'arrestation et la détention arbitraires; Toutefois, les autorités ont parfois arbitrairement arrêtés et détenus. Les groupes de droits de l'homme décrites détention arbitraire comme un problème croissant. Rôle de la police et de la sécurité La police et les gendarmes sont chargés de maintenir l'ordre. L'armée partage cette responsabilité dans des cas exceptionnels, comme lors d'un état d'urgence. La force de police comprend 10 départements qui constituent la Direction générale de la sûreté nationale. Dans chacune des 11 régions du pays, il ya au moins un poste de police et au moins une brigade mobile de sûreté. Dakar compte plus de 15 postes de police. La police a maintenu la loi et l'ordre. L'impunité et la corruption étaient les problèmes. Une loi d'amnistie couvre la police et le personnel de sécurité impliqués dans des "crimes politiques", sauf ceux qui ont commis des assassinats "de sang-froid." Selon des groupes des droits de l'homme, les avocats et les victimes, les forces de sécurité régulièrement extorqué de l'argent à partir de détenus en échange de leur libération et aux prostituées à négliger non-conformité à la réglementation de la prostitution et autres. Le DIC est chargé d'enquêter sur les abus policiers. Selon des groupes de défense des droits humains, les nouveaux membres de la force de police ont reçu une formation en matière de protection des droits humains. Arrestation et détention Bien que la loi précise que les mandats délivrés par les juges sont tenus pour les arrestations, dans la pratique, la police a souvent manqué de bons de souscription lorsqu'ils détiennent des individus. La loi accorde de larges pouvoirs de police pour détenir des prisonniers pour de longues périodes de temps avant le dépôt des accusations formelles. La DIC peut garder les personnes jusqu'à 24 heures avant de les relâcher. Beaucoup de détenus ne sont pas rapidement informés des charges retenues contre eux. Les agents de police, y compris DIC peuvent doubler la période de détention de 24 à 48 heures sans inculpation, mais ils doivent obtenir l'autorisation du procureur. Les enquêteurs peuvent demander qu'un procureur doubler cette période de 96 heures. Pour les cas impliquant des menaces réclamés à la sécurité de l'Etat, la période de détention peut encore être doublé. Ainsi, une personne accusée d'avoir comploté pour renverser le gouvernement ou de saper la défense nationale peut être tenue jusqu'à 192 heures. La période de détention ne commence pas officiellement tant que les autorités déclarent officiellement que l'individu est détenu, une pratique des groupes des droits de l'homme a critiqué pour résultant en des périodes de détention anormalement longues. Bail est rarement disponible. Dans les premières 48 heures de détention, l'accusé n'a pas accès à un avocat mais a droit à un examen médical et l'accès possible à la famille; toutefois, l'accès de la famille a été généralement pas autorisée. L'accusé a le droit à un avocat, au détriment de l'accusé après cette période initiale de détention. Procureurs sont fournis aux frais du public à tous les accusés qui ne peuvent pas se permettre un. Un certain nombre d'ONG ont également fourni une assistance juridique ou de conseils aux personnes accusées de crimes. Le gouvernement a utilisé les forces de sécurité, en particulier la DIC, pour harceler les journalistes et arrêter des opposants politiques et des dirigeants de la société civile (voir section 2.b.). L'arriéré judiciaire et l'absentéisme des juges ont contribué à des périodes de détention provisoire longues. La loi stipule que l'accusé ne peut être maintenu en détention provisoire pendant plus de six mois pour les délits mineurs; toutefois, les personnes ont été régulièrement maintenus en prison jusqu'à ce qu'un tribunal a exigé leur libération. Malgré la limite de six mois sur la détention pour la plupart des crimes, le délai moyen entre la charge et le procès était de deux ans. Dans de nombreux cas, les personnes sont libérées sans inculpation en cours de dépôt. Dans ces circonstances, il n'y a pas de compensation versée par l'État. Dans les cas impliquant assassiner, les menaces à la sécurité de l'Etat et de détournement de fonds publics, il n'y a pas de limites sur la durée de la détention provisoire. Les juges peuvent prendre le temps nécessaire pour enquêter sur ces cas les plus graves, mais peuvent ordonner la libération en attendant son procès avec le consentement du procureur. Si un procureur oppose la libération, l'ordre est gelé jusqu'à ce qu'une cour d'appel décide d'accorder ou non la libération. Selon la loi, le procureur a le pouvoir discrétionnaire pour refuser la mise en liberté provisoire en attendant son procès pour les cas impliquant des menaces à la sécurité d'Etat, assassiner et de détournement de fonds. Cependant, les juges ayant suffisamment de temps pour examiner tous les cas, les commandes de prolonger la détention ont souvent été signés sans examen des faits pour éviter de relâcher des détenus potentiellement coupables. Au cours de l'année, la Cour suprême a entendu un cas ONDH concernant 23 détenus qui avaient été placées en détention provisoire entre deux et six ans pour les crimes, y compris assassiner, viol, vols et complots criminels. La Cour suprême a rendu six détenus et condamné les 18 autres à diverses peines de prison. e. Déni de procès public équitable Bien que la constitution et la loi prévoient un pouvoir judiciaire indépendant, le pouvoir judiciaire a fait l'objet à la corruption et l'influence du gouvernement. Les magistrats ont continué à critiquer publiquement leurs conditions de travail, notamment la surcharge de cas, le manque d'équipement et des transports inadéquats. Magistrats également ouvertement remis en question l'engagement du gouvernement à l'indépendance judiciaire. Après une longue interruption, le Haut Conseil de la Magistrature a rencontré au cours de l'année et a pris plusieurs décisions, y compris la nomination du chef de la nouvelle Cour suprême. Basé sur le droit civil français, le pouvoir judiciaire est composé de tribunaux ordinaires et plusieurs juridictions supérieures et spéciales. En Juillet de la constitution a été modifiée afin de réintroduire une Cour suprême. La nouvelle Cour suprême est le tribunal de dernière instance pour toutes les affaires judiciaires et civiles, et est la plus haute institution judiciaire. D'autres composants de la magistrature comprennent le Conseil constitutionnel, qui a compétence sur toutes les questions constitutionnelles et électorales, et la Cour des Comptes qui a compétence sur les affaires financières et budgétaires. En Juillet de la Cour d'Assises a également été réformé. Il est un tribunal spécialisé attaché à la Cour d'appel, qui se réunit deux fois par an pour poursuivre les cas de crime. Les jurés ont été éliminés de la Cour d'Assises de sorte que seuls les juges délibèrent sur les cas. Il est possible de faire appel du jugement de la Cour d'Assises. La Haute Cour de justice juge les affaires impliquant de hauts responsables gouvernementaux concernant des actes commis à titre officiel. Le tribunal a le pouvoir de condamner et de la peine ou de l'acquittement. Elle est composée de huit députés à l'Assemblée nationale et d'un juge. L'Assemblée nationale élit les huit députés membres de la Haute Cour et huit suppléants, au début de chaque session. Trois cinquièmes de tous les députés doivent voter une résolution pour permettre la poursuite d'un chef d'Etat ou un ministre. Si une telle résolution est adoptée, la Haute Cour peut convoquer. Bien que les juges des tribunaux civils présider les affaires de droit civil et coutumier; demandeurs peuvent également soumettre des litiges portant sur des questions de la famille des juges religieux, qui agissent en tant que conseillers. La loi religieuse a été incorporée dans les lois du pays. Les particuliers et les entreprises peuvent également se référer litiges commerciaux devant les tribunaux d'arbitrage et de certains citoyens toujours compter sur les chefs tribaux pour régler les différends familiaux et communautaires. Le tribunal régional de Dakar comprend un tribunal militaire, qui a compétence sur les crimes qui sont de nature militaire. Le tribunal est composé d'un juge civil, un procureur civil, et deux assistants militaires de conseiller le juge, dont l'un doit être de rang égal à la partie défenderesse. Le tribunal peut juger des civils uniquement si elles ont été impliqués avec les militaires qui ont violé la loi militaire. Procédures d'essai Tous les accusés ont le droit à un procès public, d'être présent au tribunal, confronter les témoins, de présenter des preuves et des témoins, et avoir un avocat dans les cas de crime. Les auditions de témoins peuvent être fermés au public et à la presse. Bien que le prévenu et ses avocats puissent présenter des preuves devant le juge d'instruction qui décide de renvoyer une affaire pour le procès, ils ne disposent pas toujours accès à toutes les preuves présentées avant le procès. L'accès aux preuves peut être limitée par la police qui veulent protéger leurs informateurs. Un panel de juges préside les tribunaux ordinaires pour les affaires civiles et pénales depuis procès avec jury ont été éliminés par une loi votée le 28 Juillet accusés sont présumés innocents. Le droit de recours existe dans tous les tribunaux, sauf pour la Haute Cour de Justice. Tous ces étendent à tous les citoyens. Prisonniers et détenus politiques Le 10 Octobre, le gouvernement a arrêté cinq membres du Parti socialiste pour la distribution de tracts devant l'Assemblée nationale. Les prisonniers ont été détenus pendant huit jours sur des accusations de rassemblement illégal, avant qu'ils aient été libérés sous caution. Le 22 Octobre, un juge du tribunal régional de Dakar a rejeté l'affaire. Il n'y avait pas d'autres prisonniers ou détenus politiques connus. Procédures judiciaires civiles et recours Les citoyens peuvent demander la cessation et réparation pour les violations des droits de l'homme devant les juridictions administratives ou judiciaires régulières. Les recours administratifs peuvent également être recherchées par le dépôt d'une plainte auprès de la Haute Commission pour la paix et les droits de l'homme basée dans le bureau du président. Toutefois, la corruption et le manque d'indépendance ont freiné le traitement judiciaire et administratif de ces cas. Parfois, les procureurs ont refusé de poursuivre les responsables de la sécurité, et les contrevenants ont souvent impunis. En outre, il y avait des problèmes dans l'exécution des ordonnances judiciaires, puisque le gouvernement ne peut ignorer les ordonnances judiciaires sans conséquences juridiques. F. Ingérence arbitraire dans la vie privée, famille, le domicile ou la correspondance La constitution et la loi interdisent de telles actions, et le gouvernement a généralement respecté ces interdictions dans la pratique; Toutefois, les organisations des droits de l'homme a déclaré que la surveillance téléphonique illégale par les services de sécurité était une pratique courante. Section 2 Respect des libertés civiles, y compris: Liberté d'expression et de la presse La constitution et la loi prévoient la liberté d'expression et de la presse; Toutefois, le gouvernement a limité ces droits dans la pratique, et les forces de sécurité et les politiciens intimidé ou harcelé des journalistes au cours de l'année. Les journalistes ont également pratiqué l'autocensure. Personnes ont généralement pu critiquer le gouvernement en public ou en privé sans représailles. Il y avait plusieurs indépendantes et trois affiliés au gouvernement, les journaux. En raison de taux élevés d'analphabétisme, la radio est le moyen le plus important de l'information de masse et la source de nouvelles. Il y avait environ 80 communautaire, public, et les stations de radio commerciales privées. Bien qu'une loi administrative soit en place pour réguler les attributions de fréquences radio, les opérateurs de radio communautaire a affirmé qu'il y avait un manque de transparence dans l'attribution des fréquences. Les stations de radio ont été souvent contrôlés par un groupe religieux, politique ou ethnique unique. Bien que le gouvernement a continué à maintenir un monopole sur l'information et l'opinion télévisé localement par Radio Télévision du Sénégal (RTS), trois chaînes de télévision privées diffusent cours de l'année. Selon la loi, le gouvernement doit détenir un intérêt majoritaire dans des RTS, et le président sélection de tous les membres de la 12 personne RTS cadres contrôlée directement ou indirectement. Plusieurs droits de l'homme et des groupes de journalistes ont critiqué le fait que certains chefs religieux pouvaient diffuser des émissions à la télévision contrôlée par le gouvernement et la radio sans inculpation, tandis que d'autres groupes ont été obligés de payer. l'échec du gouvernement à faire respecter les règlements sur l'établissement de médias et de l'assistance des médias fournis par le gouvernement a entraîné une augmentation des médias non professionnel ou politisé. Les journalistes et les groupes de défense des droits de l'homme ont affirmé que certains médias - tels que les quotidiens Express News et Le Messager et les stations de radio FM Anur et MDM - ont été créés uniquement pour réfuter les critiques antigouvernementales. Les journalistes ont continué à critiquer les efforts du gouvernement pour contrôler le contenu des médias en accordant sélectivement ou subventions de l'Etat à la source, qui ont été donnés aux deux médias indépendants affiliés au gouvernement et privés. Le gouvernement fréquemment utilisé subventions, et dans quelques cas, les menaces et l'intimidation, à faire pression sur les médias ne publient pas certaines questions. Les médias internationaux ont été actifs et ont exprimé une grande variété de points de vue sans restriction. Au cours de l'année un certain nombre de journalistes ont été intimidés, battu et emprisonné, conduisant à une période de manifestations contre le gouvernement par les organisations de médias de deux mois. En plus il y avait une préoccupation croissante au sujet de la culture de l'impunité pour les crimes et les menaces par le gouvernement et les chefs religieux contre les journalistes. Le 10 Avril, Madiambal Diagne, éditeur de l'hebdomadaire Weekend, a déposé une plainte après avoir reçu des menaces de mort de la part des disciples mourides suite à une entrevue avec l'une des épouses du Khalife général Serigne Bara Mbacké. Personne n'a été chargé par la fin de l'année. Le 16 Avril, à Dakar, la police entrés de force dans la station de télévision indépendante Wal Fadjiri et mis fin à sa diffusion en direct d'une manifestation de l'Association des consommateurs. La police a saisi les bandes vidéo de la station de télévision sans une ordonnance du tribunal. Le 18 Avril, PDS dirigeant politique Moustapha Cissé menacé de tirer Ibrahima Benjamin Diagne, un journaliste de la station Radio Disso FM basée à Diourbel, après un auditeur critiqué Cissé lors d'un talk-show radio. Après 1 Juin dialogue politique national connu sous le nom Les Assises Nationales, le gouvernement a menacé de punir tous ceux qui ont participé, y compris les membres du corps diplomatique. Le dialogue a été organisé par les opposants politiques du gouvernement et comprenait un certain nombre de membres de la société civile qui souhaitent des réformes politiques. Le 3 Juin, le Président Wade a menacé Yakham Mbaye, rédacteur en chef du quotidien Le Populaire. Mbaye avait essayé de remettre en cause le président lors d'une conférence de presse à une conférence internationale de la sécurité alimentaire mondiale à Rome. Le 13 Juin, le calife général Serigne Bara Mbacké, le leader mouride Fraternité, saisit journaliste Babou Birame Faye, le magazine de week-end dans la région de Diourbel. Calife Mbacké aurait été malheureux avec un rapport sur sa vie privée. Certains de ses disciples ont tenté de battre Faye, mais le calife les arrêta. Bien que pas blessé, Faye a été intimidé par la menace d'éventuelles nouvelles représailles par les disciples du calife. Le calife ensuite excusé et le syndicat des journalistes abstenu de déposer une plainte contre lui. Le 21 Juin, la police a attaqué Boubacar Campbell Dieng et Karamokho Thioune, les journalistes de Radio Futurs Médias et West Africa Democracy Radio respectivement, après un match de football au stade Senghor à Dakar. L'attaque a eu lieu dans une zone où les médias ont été autorisés à interviewer les joueurs. Il n'y avait pas d'enquêtes ou de poursuites engagées contre les auteurs d'ici la fin de l'année. Le 7 Août, le ministre des Transports a menacé de battre un journaliste du quotidien Walf Grand-Place après que le journaliste aurait accusé le ministre d'avoir menti sur son diplôme d'enseignement. Le 17 Août, 12 hommes dirigés par le conducteur de la ministre des Transport aérien, Farba Senghor, ont envahi et saccagé les locaux de 24 Heures Chrono et L'As, deux quotidiens basée à Dakar privées. Les hommes ont été condamnés à des peines de prison allant de cinq à six ans. Ils ont fait appel de la condamnation, mais il n'y a pas d'autres cas développements d'ici la fin de l'année. Le 28 Août, Senghor a démissionné de son poste; aucune accusation n'a été déposée contre lui par la fin de l'année. Le 28 Août, la police a fermé le bureau de 24 Heures Chrono, rédacteur en chef de El Malick Seck arrêté, et a saisi la 28e édition de la publication Août. Le journal avait publié une vieille histoire vaguement source affirmant le président et son fils Karim avait été impliqué dans le blanchiment d'argent volé à la Banque centrale pour les pays d'Afrique occidentale. Le 12 Septembre, le tribunal a jugé Seck coupable de "diffusion de fausses nouvelles" et "injure publique". Seck a reçu une peine de trois ans de prison, dont il a fait appel, et le journal a été suspendu pour trois mois. Le journal n'a pas repris la publication d'ici la fin de l'année et il n'y avait pas d'autres développements dans l'affaire Seck par la fin de l'année. Liberté d'Internet Il n'y avait pas de restrictions gouvernementales sur l'accès à l'Internet ou des rapports que le gouvernement a surveillé le courriel ou les chatrooms sur Internet. Les individus et les groupes ont pu l'expression pacifique de leurs opinions par Internet, y compris par e-mail. Avec plus d'une douzaine de fournisseurs de services Internet et d'environ 2,3 millions d'abonnés, le pays avait un large accès en ligne. Les cybercafés sont nombreux à Dakar et souvent trouvé dans des centres provinciaux. Environ 60 pour cent du pays, cependant, n'a pas été raccordé au réseau électrique du pays. Liberté académique et événements culturels Il n'y avait pas de restrictions gouvernementales sur la liberté académique ou les événements culturels. b. La liberté de réunion et d'association pacifiques Liberté de réunion Bien que la constitution et la loi prévoient la liberté de réunion, le gouvernement a interféré avec ce droit dans la pratique. Au cours de l'année, le gouvernement a nié à plusieurs reprises permis publiques pour la société civile et de manifestations de l'opposition. Les groupes d'opposition se sont plaints des retards excessifs pour avoir une réponse du gouvernement aux demandes d'autorisation. Le 30 Mars, à Dakar, la police a battu et détenu Momar Ndao et Jean Pierre Dieng, les dirigeants de l'Association des consommateurs, à la suite d'une manifestation organisée par leur organisation pour exiger que le gouvernement à réduire les prix de certains produits. Le 16 Avril, Ndao et Dieng ont été poursuivis et ont chacun reçu une condamnation avec sursis d'un mois. Au cours de l'année, la police a utilisé une force excessive pour disperser des manifestations non autorisées, entraînant des blessures. Aucune mesure n'a été prise contre les auteurs. Le 28 Juillet, les gendarmes ont ouvert le feu contre les manifestants dans Marsassoum, dans la région de Sédhiou, blessant 10 personnes. Les manifestants avaient bloqué les routes aux autorités centrales de pression du gouvernement d'accorder leur zone plus grande priorité dans le processus de décentralisation en cours. Il n'y avait aucun développement dans le meurtre Avril 2007 par la police de Kolda Dioutala Mané, qui avait participé à une manifestation contre la mort de Dominique Lopy en garde à vue. Au cours de l'année, il y avait pas de mesures prises contre les policiers anti-émeute Ziguinchor qui ont battu sept enseignantes du primaire en mai 2007. Au cours de l'année, aucune mesure n'a été prise contre les policiers qui ont battu avec des bâtons un groupe d'anciens militaires handicapés en Septembre., 2006 Liberté d'association La constitution et la loi prévoient la liberté d'association, et le gouvernement respecte généralement ce droit dans la pratique. c. La liberté de religion La constitution et la loi prévoient la liberté de religion et le gouvernement respecte généralement ce droit dans la pratique. Tout groupe religieux cherchant à former une association avec un statut légal doit inscrire auprès du ministère de l'Intérieur en conformité avec le code civil et commercial. L'enregistrement a été généralement accordée. Contrairement à d'autres groupes religieux, les musulmans ont le droit de choisir les lois fondées-musulmane contenues dans le code de la famille pour les cas de mariage et d'héritage. Les juges des tribunaux civils peuvent présider des affaires de droit civil et coutumier, mais de nombreux litiges ont été remis à des chefs religieux à l'arbitrage, en particulier dans les zones rurales. Musulmans et chrétiens ont continué à profiter de relations harmonieuses. Le 26 Septembre, les musulmans et les dirigeants chrétiens a conduit une prière commune pour commémorer l'anniversaire du naufrage du Joola. Au cours de l'année, l'Agence de l'Organisation de la Conférence islamique (ANOCI) a fourni un appui aux mosquées endommagées par les inondations et construit un parking pour principal cimetière chrétien de Dakar. Le gouvernement a fourni un soutien financier pour les musulmans et les pèlerinages chrétiens. Abus sociétaux et discrimination On n'a pas signalé de violence sociétale, de harcèlement ou de discrimination contre les membres de groupes religieux. Il y avait environ 120 Juifs résidant dans le pays; il n'y avait pas de rapports d'activités antisémites pendant l'année. Pour une discussion plus détaillée, voir le International Religious Freedom Report 2008 à www.state.gov/j/drl/irf/rpt . ré. Liberté de circulation, personnes déplacées, protection des réfugiés et apatrides La constitution et la loi prévoient la liberté de mouvement dans le pays, Voyage étranger, l'émigration et le rapatriement, et le gouvernement a généralement respecté ces droits dans la pratique. Le gouvernement a généralement coopéré avec le Bureau du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et d'autres organisations humanitaires pour fournir protection et assistance aux personnes déplacées, des réfugiés, des demandeurs d'asile et des apatrides. Certains employés du secteur public, y compris les enseignants, sont tenus par la loi d'obtenir l'approbation du gouvernement avant de quitter le pays; Toutefois, cette loi a été généralement pas appliquée. La constitution et la loi interdisent l'exil forcé et le gouvernement ne l'emploient. Certains dirigeants locaux conseillé ONG pour évaluer la réaction du MFDC en Casamance avant d'entreprendre des projets ou voyageant dans des zones à forte présence rebelle. Points de contrôle militaires étaient encore érigés par l'armée, mais aucune restriction de mouvement a été notée. brigandages dissuadés beaucoup de voyager par la route. Personnes déplacées internes (PDI) Au cours de la 23-year-old conflit en Casamance, des dizaines de milliers de personnes ont quitté les villages dans la région en raison des combats, le retrait forcé, et les mines terrestres, et de nombreuses personnes auraient été déplacées au cours de l'année dans la région. Le gouvernement a estimé qu'il y avait environ 10 000 personnes déplacées en Casamance. Certaines personnes déplacées qui ont tenté de retourner dans leurs villages se sont réunis à l'hostilité de combattants du MFDC dans les communautés rurales au sud de Ziguinchor. Le 16 Mars, les forces du MFDC été détenus pendant trois jours 12 personnes déplacées qui sont retournées dans leur village d'Mbissine pour préparer leurs terres pour l'agriculture. Protection des réfugiés La loi prévoit l'octroi du statut de réfugié ou de l'asile conformément à la Convention des Nations Unies de 1951 relative au statut des réfugiés et son protocole de 1967, et le gouvernement a établi un système pour assurer la protection des réfugiés. Depuis le président doit approuver chaque cas, des retards de un à deux ans dans l'octroi du statut de réfugié sont restées un problème. Dans la pratique, le gouvernement a fourni une certaine protection contre l'expulsion ou le retour des réfugiés vers des pays où leur vie ou leur liberté seraient menacées. Le gouvernement a généralement accordé le statut de réfugié ou d'asile, réfugiés et fourni avec une assistance alimentaire et non alimentaire. Le gouvernement a violé les droits de certains demandeurs d'asile en ne leur offrant processus ou de la sécurité en raison puisque les appels déposés par les demandeurs d'asile refusés ont été examinées par le même comité qui a examiné leurs boîtes d'origine, et un demandeur d'asile refusée peut être arrêté pour séjour irrégulier dans le pays . Les personnes arrêtées sont parfois restés en «détention administrative» pour un maximum de trois mois avant d'être expulsés. Depuis 1989, le pays a offert une protection temporaire aux réfugiés mauritaniens vivant en général dans des endroits dispersés dans la vallée de la rivière le long de la frontière mauritanienne et apprécié la libre circulation dans le pays. Cependant, la plupart des réfugiés ne pouvaient pas obtenir des documents de réfugiés des autorités et des difficultés administratives rencontrées parfois lorsqu'ils utilisaient leur récépissé de demande de réfugié périmés. Le 29 Janvier, le HCR a lancé un programme de rapatriement des Afro-Mauritaniens du pays à la Mauritanie, résultant en environ 5000 personnes retourné au cours de l'année. En outre, le gouvernement a continué à permettre un rapatriement non contrôlé et largement informel. Section 3 Respect des droits politiques: le droit des citoyens de changer leur gouvernement La constitution et la loi garantissent aux citoyens le droit de changer pacifiquement de gouvernement, et les citoyens ont généralement exercé ce droit en février des élections présidentielles et les élections législatives de juin. Pour la première fois, les forces militaires et paramilitaires ont été autorisés à voter. Elections et participation politique L'Assemblée nationale a reporté les élections locales qui ont été prévues pour mai to Mars de 2009. En Février 2007, le président Wade a été réélu pour un second mandat avec environ 55 pour cent des voix, ce qui lui a assuré une victoire au premier tour plus de 14 autres candidats. Les observateurs internationaux ont déclaré le scrutin pour être généralement libre et équitable; Cependant, il y avait la violence et les irrégularités préélectorales, notamment dans l'émission des cartes d'électeur. Notant que de nombreuses personnes ont voté plusieurs fois et que les cartes d'électeur ont été délibérément délivrance tardive dans les zones de PDS dominé non, de nombreux partis de l'opposition n'a pas accepté les résultats des élections. Les parties ont demandé au Conseil constitutionnel d'annuler l'élection; Toutefois, le Conseil a rejeté leur requête. Aux élections législatives de Juin 2007, la coalition PDS du président Wade a remporté 131 des 150 sièges. Les observateurs internationaux ont déclaré que les élections soient libres et justes. Les partis d'opposition, organisées sous l'organisation faîtière «Front Siggil Sénégal», ont boycotté les élections, ce qui entraîne un niveau historiquement faible taux de participation de 34,7 pour cent. Élections sénatoriales ont eu lieu en Août 2007 après une loi Janvier 2007 rétabli le Sénat. Trente-cinq sénateurs sont élus au suffrage indirect par les responsables locaux et des membres du parlement; les 65 sièges du Sénat restants sont pourvus par le président. Le PDS a remporté 34 des 35 sièges à pourvoir. Les principaux partis d'opposition ont boycotté les élections, puisque la majorité des sièges du Sénat sont nommés. Les 100 partis politiques enregistrés exploités sans restriction ni ingérence extérieure. À la fin de l'année, il y avait 34 femmes sur les 150 sièges de l'Assemblée nationale et cinq femmes dans le cabinet de 31 membres. Seulement 13 pour cent des élus locaux étaient des femmes. Les 100 membres du Sénat comprenait 37 femmes. Les groupes de femmes ont fait valoir que la répartition actuelle des sièges au Sénat devrait être déclarée inconstitutionnelle, que la Constitution stipule que les deux cinquièmes des sièges devraient être attribués à des femmes. Il y avait environ 39 membres des groupes minoritaires dans les 150 sièges de l'Assemblée nationale et environ 12 membres dans le cabinet de 39 membres. Corruption et transparence La loi prévoit des sanctions pénales pour la corruption officielle; Toutefois, le gouvernement n'a pas mis en œuvre effective de la loi et des fonctionnaires souvent engagé dans des pratiques de corruption en toute impunité. 2008 Indicateurs mondiaux de la gouvernance de la Banque mondiale, la corruption était un problème grave, et il y avait la perception publique répandue de la corruption du gouvernement. La perception a été exacerbée par les fonctionnaires eux-mêmes accorder des augmentations salariales, des véhicules, et des terres au cours des dernières années à des députés de l'Assemblée nationale et des fonctionnaires à tous les niveaux. La Commission nationale de lutte contre la non transparence, la corruption et la fraude gouvernementales n'a pas le pouvoir d'enquêter ou de poursuivre. Elle a été inefficace dans la lutte contre la corruption, et aucun fonctionnaire n'a été poursuivi pour le crime. Cependant, le 28 Juillet, le gouvernement a adopté une loi accordant aux membres de la commission des avantages financiers et l'extension de leur mandat pour encore six ans à partir de 2007. En Juillet le président Wade a fait circuler une pétition appelant à la démission du Président de l'Assemblée nationale Macky Sall. Sall, qui a précédemment servi comme Premier ministre, avait soutenu un appel pour le fils du président, à la tête de l'ANOCI, à témoigner sur l'utilisation des fonds pour les infrastructures. La pétition de Wade n'a pas réussi à enlever Sall; Cependant, en Octobre de l'Assemblée nationale a adopté un projet de loi réduisant la durée du mandat de la présidence de l'Assemblée nationale et a voté pour rejeter Sall. Sall a démissionné du PDS du parti au pouvoir et a créé un nouveau parti politique appelé l'Alliance pour la République. Le cas de Pape Malick Ndiaye 2006 a été encore en suspens à la fin de l'année, bien que Ndiaye a été libéré sous caution en Janvier 2007 et est resté en liberté à la fin de l'année. Ndiaye a été accusé de diffamation et de fraude pour avoir accusé Abdoulaye Baldé, Secrétaire général de l'ANOCI, de prendre un rebond lié aux travaux publics ANOCI liées. La constitution et la loi garantissent aux citoyens le droit d'accéder librement à l'information gouvernementale; cependant, le gouvernement a rarement fourni l'accès dans la pratique. Section 4 Attitude du gouvernement concernant internationales et non gouvernementales d'enquête sur des violations présumées des droits de l'homme Une grande variété de groupes nationaux et internationaux des droits humains fonctionne généralement sans restriction du gouvernement, des enquêtes et publiant leurs conclusions sur les cas des droits humains. Les représentants du gouvernement étaient peu coopératifs et sensibles à leurs conclusions. Toutefois, certaines organisations des droits humains ont affirmé que leurs téléphones étaient régulièrement sur écoute l'année. ONG indépendantes locales incluses Tostan, le Comité de lutte contre la violence contre les femmes et les enfants (CLVF), ONDH, la RADDHO, Terre des Hommes Fédération internationale, et Plan International Sénégal. Le Comité national sur les droits de l'homme (CNDH) du gouvernement comprend des représentants du gouvernement, des groupes de la société civile et des organisations indépendantes des droits de l'homme. La NCHR a le pouvoir d'enquêter sur les abus; Cependant, il manquait de crédibilité, car il a été mal financé, ne se réunit pas régulièrement, et n'a pas procédé à des enquêtes ou libérer un rapport au cours de l'année. Selon la NCHR, le gouvernement se réunissait régulièrement avec la société civile et les ONG de défense des droits de l'homme pour discuter de sujets y compris la discrimination (raciale, sexuelle et religieuse), la migration et la violence domestique. Le gouvernement était peu sensible aux demandes de renseignements par les ONG et tenu des réunions avec eux pour discuter des questions de l'homme telles que la torture, la violence domestique, et l'affaire Hissène Habré. Menaces de mort contre des dirigeants de partis politiques d'opposition, des syndicats, des journalistes, des ONG et même un haut fonctionnaire étaient fréquents et généralement on croyait cercles proches du parti au pouvoir. Bien que le gouvernement n'a pas empêché les visites par les organisations internationales, aucune de ces visites ont été signalés au cours de l'année. Section 5 Discrimination, abus sociétaux et traite des personnes La Constitution prévoit que les hommes et les femmes sont égaux devant la loi et interdit toutes les formes de discrimination. Cependant, la discrimination de sexe était très répandue dans la pratique, et les lois antidiscriminatoires souvent ne sont pas appliquées. Femmes Le viol était un problème répandu, tandis que le viol conjugal est resté difficile à quantifier car il reste un sujet tabou et très rarement rapporté. La loi interdit le viol, mais pas le viol conjugal; cependant, le gouvernement a rarement appliqué la loi. Les droits de A Femmes ONG ont critiqué le manque de lois rape shield qui permettent la pratique courante d'utiliser l'histoire sexuelle d'une femme pour défendre les hommes accusés de viol du pays. Les poursuites pour viol restée minime puisque les juges ont rarement une preuve suffisante que le viol a eu lieu, en particulier lorsque le viol qui se passe au sein d'une famille. Il est commun pour régler les cas de viol à l'amiable afin d'éviter la publicité et les coûts associés aux poursuites. Ministère de la Justice de statistiques estiment que 47 pour cent des personnes accusées de viol impuni et libéré sans procès. Selon APROFES, une ONG de femmes, il y avait 195 cas documentés de viols et d'abus sexuels au cours de l'année. La violence domestique, notamment la violence conjugale, était un problème répandu. Plusieurs groupes de femmes et l'ONG CLVF ont déclaré une hausse de la violence contre les femmes au cours de l'année. Violence contre les femmes est contre la loi, mais la loi n'a pas été appliquée. La loi criminalise les agressions et prévoit une peine de un à cinq ans de prison et une amende. Si la victime est une femme, la peine de prison et l'amende sont augmentées. La violence domestique entraînant des blessures permanentes est passible d'une peine de prison de 10 à 20 ans; si un acte de violence domestique entraîne la mort, la loi prévoit la réclusion à perpétuité. Le CLVF critiqué l'échec de certains juges à appliquer la loi, citant des cas où les juges argué d'un manque de preuves suffisantes comme une raison de prononcer des peines légères. Police généralement pas intervenue dans les conflits domestiques et la plupart des personnes étaient réticents à aller à l'extérieur de la famille pour obtenir réparation. Il n'y avait pas de statistiques disponibles sur le nombre de toxicomanes poursuivis en vertu de la loi. Le CLVF indiqué que la disponibilité de plus d'abris et de sa campagne réussie pour sensibiliser les femmes à leurs droits ont entraîné une augmentation substantielle dans les rapports de la violence domestique. Organisations de lutte contre la violence ont critiqué le refus du gouvernement de permettre à des associations de porter plainte au nom des victimes. Le ministère de la Femme, de la Famille, du Développement social et de l'Entreprenariat féminin a été chargé d'assurer les droits des femmes. Il n'y avait pas de programmes gouvernementaux de lutte contre la violence domestique au cours de l'année. Bien que de solliciter les clients est illégal, la prostitution est légale si les individus sont au moins de 21 ans, inscrivez-vous auprès de la police, porter une carte sanitaire valable et un test négatif pour les infections sexuellement transmissibles. ONG qui travaillent avec les prostituées ont indiqué que la police prostituées d'abus et de l'extorsion de fonds ciblés. Il y avait des arrestations de prostituées étrangères illégales, de prostituées mineures et de proxénètes cours de l'année. L'entrée dans le pays preuves suggéraient prostituées étrangères a été organisée de manière professionnelle. La loi impose des peines de prison de cinq mois à trois ans, et des amendes de 50.000 à 500.000 francs CFA (environ 100 $ à 1000 $) pour le harcèlement sexuel; cependant, la pratique était courante. Le gouvernement n'a pas fait appliquer efficacement la loi, et les groupes de défense des droits des femmes fait des victimes de harcèlement sexuel a trouvé difficile, voire impossible, de présenter une preuve suffisante pour assurer les poursuites. En vertu du droit national, les femmes ont le droit de choisir quand et avec qui ils se marient, mais les pratiques traditionnelles limitent le choix d'une femme. La loi interdit le mariage des filles de moins de 16 ans, mais cette loi n'a pas été appliquée dans certaines communautés où les mariages sont arrangés. Sous certaines conditions, un juge peut accorder une dispense spéciale pour le mariage d'une personne ci-dessous l'âge du consentement. Les femmes mariées très jeunes, généralement avant l'âge de 16 ans dans les zones rurales. Les femmes confrontées à une discrimination très répandue, particulièrement dans les zones rurales où les coutumes traditionnelles, y compris la polygamie et les règles d'héritage, sont les plus fortes. Selon la loi, l'approbation d'une femme est nécessaire pour une union polygame, mais une fois dans une telle union, une femme n'a pas besoin d'être informée ni de donner son consentement pour le mariage ultérieur de l'homme. Environ 50 pour cent des mariages étaient polygames. Bien que protégée en vertu de la loi, le droit au mariage ne sont pas appliquées en raison des pressions socioculturelles, la réticence des juges à appliquer la loi, et un manque d'information sur les lois sur le mariage. La définition du Code de la famille des droits paternels reste un obstacle à l'égalité entre les hommes et les femmes, comme les hommes sont considérés comme le chef de ménage et les femmes ne peuvent pas assumer la responsabilité juridique de leurs enfants. Les femmes ne peuvent devenir le chef de famille légal lorsque le père renonce officiellement à son autorité devant l'administration. Cela le rend particulièrement difficile pour les 20 pour cent des familles qui sont soutenues et dirigées par des femmes. Problèmes à la fois dans la loi et les pratiques traditionnelles rendent également difficile pour les femmes d'acheter des biens. Les femmes représentaient 52 pour cent de la population, mais effectués 90 pour cent des travaux domestiques et 85 pour cent des travaux agricoles. Enfants Le gouvernement a été quelque peu engagé à les droits et le bien-être des enfants. Le ministère des Affaires de la femme, de la famille, du développement social et de l'Entreprenariat féminin a été chargé de promouvoir le bien-être des enfants et a été aidé par les ministères de la santé, de l'éducation et du travail. La loi prévoit la gratuité de l'éducation, et l'éducation est obligatoire pour tous les enfants âgés de six à 16; Cependant, beaucoup d'enfants ne fréquentent pas l'école en raison du manque de ressources ou d'infrastructures disponibles. Les étudiants doivent payer pour leurs propres livres, des uniformes et autres fournitures scolaires. Grâce aux efforts du gouvernement, les ONG et les bailleurs de fonds internationaux, le taux de scolarisation primaire a atteint 82,3 pour cent au cours de l'année. Le plus haut niveau de scolarité atteint par la plupart des enfants était l'école primaire. Le taux de scolarisation a été de 31,9 pour cent, et le taux de scolarisation dans le secondaire était de 10,9 pour cent. Pendant l'année scolaire 2006-07, plus de filles que de garçons ont été inscrits à l'école primaire; Cependant, les jeunes filles rencontraient toujours davantage de difficultés à recevoir une éducation. Par exemple, lorsque les familles ne pouvaient pas payer pour tous leurs enfants à l'école, les parents avaient tendance à retirer leurs filles plutôt que les garçons de l'école. Seulement 23 pour cent des femmes et des jeunes filles de plus de 15 ans sont alphabétisées, comparativement à 43 pour cent des hommes. Cependant, cet écart diminue à la suite d'un programme de l'UNICEF, actuellement actif à Tambacounda, Kolda et Ziguinchor, à inscrire les filles à l'école. Un gouvernement étranger a soutenu un programme de construction de l'école intermédiaire à accroître la scolarisation des filles. Le gouvernement a pris des mesures pour fournir des cours d'éducation religieuse dans le système scolaire formel comme une alternative aux parents qui envoient leurs enfants dans des écoles coraniques, où le trafic sous la forme de mendicité forcée est fréquente. Le gouvernement a aussi un programme pour fournir une éducation et des services sociaux aux enfants à risque. La maltraitance des enfants était commun. Facilement observables étaient nombreux mal habillés, pieds nus de jeunes garçons, appelés talibés mendient aux coins des rues pour de la nourriture ou de l'argent pour leurs maîtres coraniques, appelés marabouts. Ces enfants ont été exploités par leurs maîtres et exposés à des dangers. La violence physique les talibés sont largement connues et discutées. Une étude conjointe 2007 par l'UNICEF, l'Organisation internationale du travail (OIT) et la Banque mondiale a identifié 7.600 enfants-mendiants dans la région de Dakar. La plupart de ces enfants étaient autour de 10-ans, bien que certains aussi jeunes que deux ont été signalés. En général, ils étaient sous-alimentées et sujettes à la maladie. Depuis ils mendient plein temps qu'ils consacrent presque pas de temps à des études coraniques, et sont obligés de donner le produit de leur mendicité à leurs enseignants. La moyenne a été prévu que chaque enfant de recueillir par jour était de 400 CFA (environ $ 0,80). Le 3 Juillet, un marabout sévèrement battu un enfant de huit ans talibé de collecte de moins que le quota quotidien. La police a arrêté le marabout et il a été l'objet de poursuites, le 2 Octobre; il a reçu une peine de cinq ans en Novembre. La loi punit les agresseurs sexuels d'enfants avec la réclusion de cinq à 10 ans. Si le délinquant est un membre de la famille, la peine est la réclusion de 10 ans. Toute infraction à la pudeur d'un enfant est passible d'un emprisonnement de deux à cinq ans et, dans certains cas aggravés jusqu'à 10 ans. Fournir un mineur à la prostitution est passible d'un emprisonnement de deux à cinq ans et une amende de 300.000 à 4 millions de francs CFA (environ 575 $ à $ 7600). Cependant, la loi n'a pas été appliquée de manière efficace en général. Il y avait des rapports périodiques de viols d'enfants et la pédophilie. Le 6 Mars, une fille de 13 ans a été violée à Keur Massar et, le 17 mai, une fillette de neuf ans a été enlevé, violée et abandonnée à Guédiawaye. Dans les deux cas, les auteurs présumés ont été arrêtés par la police; cependant, ni avait été jugé par la fin de l'année. Le 3 Octobre, un individu nommé Abdoulaye Wade, qui aurait été malades mentaux, violé et tué un 11-year-old girl à Dakar. Wade a ensuite été battu à mort par la foule locale. Le 12 Octobre, une fille de 14 ans a été tué par son oncle à Ziguinchor. L'homme a été arrêté et était en attente de procès à la fin de l'année. Les médias ont rapporté que le 18 Octobre, un homme aurait fait passer pour un policier a violé une fille de 17 ans à Dakar. Aucune arrestation a été faite par la fin de l'année. En raison des pressions sociales et crainte de l'embarras, l'inceste est resté tabou et a souvent été tu et impuni. Les droits de A Femmes ONG ont déclaré que, de tous les cas de violence commis contre les filles, l'inceste paternel a été augmente le plus rapidement. L'ONG Tostan et l'UNICEF estime que les MGF a été pratiquée dans des milliers de villages à travers le pays. Certaines filles étaient aussi jeune que celui où les MGF a été réalisée sur eux. Presque toutes les femmes de la région du Fouta au Nord du pays ont été victimes des MGF, comme l'étaient de 60 à 70 pour cent des femmes dans le sud et sud-est. Étanchéité, l'une des formes les plus extrêmes et les plus dangereuses de MGF, a été parfois pratiqué par les Toucouleurs, les Mandingues, Soninkés, les Peuls et les Bambaras, en particulier dans les régions rurales et dans certaines zones urbaines. MGF est une infraction pénale en vertu de la loi d'une prison peine de six mois à cinq ans pour ceux qui pratiquent directement ou ordonnant à être réalisée sur une tierce personne. Cependant, de nombreuses personnes pratiquent encore les MGF ouvertement et en toute impunité. Le gouvernement de poursuites ceux qui sont pris engager dans la pratique et a lutté pour mettre fin aux MGF en collaborant avec l'ONG Tostan et d'autres groupes d'éduquer les gens à propos de ses dangers inhérents. Tostan a rapporté que 3.307 sur un total estimé à 5.000 communautés, avaient officiellement abandonné la pratique à la fin de l'année. Selon Tostan le mouvement d'abandonner les MGF accéléré, avec 60 pour cent des communautés précédemment pratiquant les MGF dans le pays fin à cette pratique nuisible. les fonctionnaires du ministère de la famille et des groupes de défense des droits des femmes considérées comme le mariage des enfants, un problème important dans certaines parties du pays, en particulier dans les zones rurales, bien que le mariage des enfants est contre la loi. Les filles, parfois dès l'âge de neuf ans, ont été mariées à des hommes plus âgés pour des raisons religieuses, économiques, et culturels. Les groupes de défense des droits des femmes ont mis en évidence l'infanticide, généralement en raison de la pauvreté ou de l'embarras, comme un problème persistant. Les travailleurs ou les femmes des villages de travail dans les villes qui sont devenues enceintes parfois tué leurs bébés, car ils ne pouvaient pas prendre soin d'eux domestiques. D'autres, qui étaient mariées à des hommes travaillant à l'extérieur du pays, ont tué leurs bébés par honte. Dans certains cas, les familles des femmes ont fait honte à tuer leurs propres bébés. Les méthodes varient en les enterrant vivants, en les mettant dans des fosses septiques, soit simplement abandonnés le long de la route. Lorsque l'identité de la mère a été découvert, la police a arrêté et traduit en justice. Beaucoup d'enfants ont été déplacés à cause du conflit en Casamance et vivaient souvent avec des membres de la famille élargie, des voisins, dans les maisons d'enfants, ou dans les rues. Le gouvernement ne disposait pas de ressources suffisantes pour soutenir efficacement ces enfants. Selon les ONG en Casamance, les enfants déplacés souffrent des effets psychologiques du conflit, la malnutrition et la mauvaise santé. Selon l'UNICEF, il y avait environ 100.000 talibés et 10.000 enfants de la rue. La traite des personnes La constitution et la loi interdisent la traite des personnes; toutefois, les personnes ont été victimes de la traite à, dans, et du pays. Des lois qui interdisent le proxénétisme et l'enlèvement peuvent être utilisés dans certains cas de traite. Le trafic dans et à travers le pays a été importante, en particulier à l'égard de la mendicité des enfants. Les talibés ont été victimes de la traite en provenance des pays voisins, notamment la Gambie, le Mali, la Guinée et la Guinée-Bissau, et à l'intérieur de participer à exploitation par la mendicité par certaines écoles coraniques. Les jeunes filles ont été victimes de la traite des villages dans les régions de Diourbel, Fatick, Kaolack, Thiès et Ziguinchor vers les centres urbains pour travailler comme domestiques mineurs. Les jeunes filles des zones urbaines et rurales ont été impliqués dans la prostitution, dont les ONG a déclaré qu'un proxénète adulte pour faciliter les transactions sexuelles ou fournir un abri. Les jeunes garçons ont également été impliqués dans la prostitution, en particulier pour soutenir leurs familles. Le pays a été considéré comme un point de transit pour les femmes, en route vers l'Europe à des fins sexuelles. Selon la loi, ceux qui recrutent, le transport, le transfert, ou abritent des personnes, que ce soit par la violence, la fraude, l'abus de pouvoir, ou autrement, pour des fins d'exploitation sexuelle, le travail, la servitude, l'esclavage ou sont soumis à des peines de cinq ans à un emprisonnement de 10 ans et d'une amende de cinq à 20 millions de francs CFA (environ $ 10,000 à $ 40,000). Lorsque l'infraction implique la torture, la barbarie, le prélèvement d'organes humains ou l'exposition de la victime à un risque de mort ou de blessures, des peines de prison allant de 10 à 30 ans. Le gouvernement n'a pas fait appliquer efficacement la loi. Il n'y avait pas de données disponibles quant à savoir qui étaient les principaux trafiquants. Le commissaire aux droits de l'homme et le ministère de la famille étaient les coordinateurs du gouvernement sur les questions de traite des êtres humains. La plupart des efforts du gouvernement pour lutter contre la traite des personnes ont été centrées dans le ministère de la Femme, de la Famille, du Développement social et de l'Entreprenariat féminin. Le ministère a exploité le Centre Ginddi à Dakar, un centre pour les enfants où les victimes de la traite des enfants ont reçu nutritionnelle, médicale et autre assistance. Les centres logés les enfants de la Gambie, le Mali, la Guinée-Bissau et de la Guinée. Le centre a également exploité une ligne à chaud de protection sans frais de l'enfant qui a reçu de nombreux appels. Avec l'aide d'un gouvernement étranger, la police a créé une base de données trafic en personnes. Il n'y avait pas de programmes gouvernementaux visant à protéger ou à aider les femmes victimes de la traite. Le rapport annuel du Département d'Etat dans le rapport de la personne peut être trouvé à www.state.gov/j/tip . Personnes handicapées La loi interdit la discrimination contre les personnes handicapées dans l'emploi, l'éducation, l'accès aux soins de santé, ou la fourniture d'autres services de l'Etat, et le gouvernement a respecté cette loi. La loi rend également obligatoire l'accessibilité pour les personnes handicapées; Cependant, il y avait un manque d'infrastructures pour les aider. Le ministère de la Solidarité nationale est chargé de protéger les droits des personnes handicapées. La loi réserve 15 pour cent des nouveaux postes de fonctionnaires pour les personnes handicapées. Toutefois, selon l'Association nationale sénégalaise des personnes handicapées physiques, l'Assemblée nationale doit adopter un projet de loi de mise en œuvre en attendant de rendre la loi opérationnelle. Le gouvernement a des écoles pour enfants handicapés, a accordé des subventions pour les personnes handicapées de recevoir une formation professionnelle, et géré des centres régionaux pour les personnes handicapées de recevoir une formation et le financement pour l'établissement des entreprises. Plusieurs programmes gouvernementaux, qui semblaient être destinés aux personnes handicapées, offrir des services à d'autres populations vulnérables, la réduction des ressources pour les personnes handicapées. En raison d'un manque de formation des enseignants en éducation spécialisée et d'un manque d'installations accessibles aux enfants handicapés, seulement environ 40 pour cent de ces enfants étaient inscrits à l'école primaire. Au cours de l'année, le gouvernement a achevé la construction de cinq centres sociaux polyvalents dans le pays dans le cadre de son programme national de cinq ans pour la réhabilitation communautaire des personnes handicapées sur la base. Au cours de l'année, l'Association des étudiants handicapés de l'Université de Dakar ont demandé de meilleures conditions de vie, notant que nombre de leurs membres ont dû abandonner leurs études en raison de mauvaises conditions de logement et de travail. Les 210 étudiants de l'université vivaient six personnes dans une pièce qui a été construit pour abriter deux. En Mars l'Association des femmes handicapées de Mbour a dénoncé la stigmatisation ils ont souffert de discrimination dans l'emploi et les problèmes de mobilité. Les cas peuvent 2006 à la suite restés en instance à la fin de l'année: le viol d'un 16-year-old girl sourd et muet à Thiaroye, et le viol d'une jeune fille de 15 ans handicapées à Yeumbeul. / Minorités raciales / ethniques nationaux Alors que de nombreux groupes ethniques du pays ont cohabité de manière relativement pacifique, les tensions interethniques entre les Wolofs et les groupes ethniques du Sud ont joué un rôle important dans la rébellion casamançaise long qui a été marquée par de terribles violations des droits de l'homme. Autres violences et discriminations sociétales À la suite de gouvernement et des campagnes de sensibilisation des ONG VIH / SIDA, les personnes vivant avec le VIH ou le SIDA ont été de plus en plus acceptés dans la société. L'homosexualité, qui est indirectement visée à la loi comme des «rapports sexuels contre nature», est une infraction pénale. Cet article du code pénal a été utilisé pour poursuivre les homosexuels. Les homosexuels victimes de discrimination généralisée, l'intolérance sociale, et les actes de violence. Le 2 Février, le DIC arrêté Pape Mbaye, un artiste homosexuel bien connu, et cinq de ses amis après un magazine publié des photos de Mbaye assister à une cérémonie de mariage homosexuel 2006. Mbaye a été emprisonné pendant cinq jours avant d'être libéré. Il n'a pas été formellement inculpé, et ses amis ont également été libérés après avoir menacé d'identifier les personnes influentes comme étant homosexuel. Après que la police et du ministère de l'Intérieur les fonctionnaires auraient dit Mbaye qu'ils ne pouvaient pas le protéger contre le harcèlement de la société subséquente, Mbaye fui vers Ziguinchor et la Gambie. Mbaye retourne à Dakar le 16 mai, et l'ONG RADDHO a pris son cas. Le 9 Juin, les autorités émis Mbaye un passeport et il a ensuite quitté le pays. Le 15 Février, le gouvernement n'a pas autorisé une tentative par un groupe islamique de mettre en scène une manifestation anti-gay à la Grande Mosquée de Dakar. Le 2 Avril, trois homosexuels auraient été attaqués à Ziguinchor. L'un d'eux a été grièvement blessé et transporté à l'hôpital. Aucune arrestation n'a eu lieu à la fin de l'année. Le 12 Août, une foule a attaqué un homme homosexuel présumé dans la banlieue de Dakar de la Patte d'Oie. L'homme a subi des blessures et a été soigné dans un hôpital. Aucune arrestation n'a eu lieu à la fin de l'année. Le 19 Décembre, la police a perquisitionné la maison de Diadji Diouf, le directeur de AIDES Sénégal, une ONG fournit des services de prévention du VIH. La police a arrêté Diouf et sept hommes; ils sont restés en détention à la fin de l'année. Section 6 Droits des travailleurs un. Le droit d'association Selon la loi, tous les travailleurs, à l'exception des forces de sécurité, y compris les policiers et les gendarmes, les douaniers et les juges, sont libres de former des syndicats, et les travailleurs ont exercé ce droit dans la pratique. Toutefois, le code du travail exige que le ministre de l'Intérieur de donner une autorisation préalable avant qu'un syndicat puisse exister légalement. Le gouvernement peut également dissoudre les syndicats par ordre administratif, mais n'a pas le faire au cours de l'année. Le code du travail ne vaut pas pour les secteurs agricoles ou informelles, et donc la majorité de la main-d'œuvre. Environ 4 pour cent de la population active était employée dans le secteur industriel privé, dont 40-50 pour cent appartenait aux syndicats. La loi prévoit le droit de grève, et les travailleurs ont exercé ce droit; Cependant, il y avait des restrictions importantes. La loi stipule que les lieux de travail ne peuvent pas être occupés durant une grève. Plusieurs grèves ont été organisées au cours de l'année par le transport, la santé, l'éducation, la boulangerie, et les travailleurs de collecte des déchets. Les syndicats représentant les membres de la fonction publique doit en aviser le gouvernement de leur intention de grève au moins un mois à l'avance; Les syndicats du secteur privé doivent avertir le gouvernement trois jours à l'avance. b. Le droit d'organisation et de négociation collective La loi permet aux syndicats de mener leurs activités sans ingérence, et le gouvernement a protégé ce droit dans la pratique. La loi prévoit le droit à la négociation collective, et il a été pratiqué librement partout, mais dans des sociétés de sécurité privées. Les conventions collectives sont appliqués à environ 44 pour cent des travailleurs syndiqués. La discrimination antisyndicale est interdite par la loi; et aucune discrimination antisyndicale est survenu pendant l'année. Il n'y a pas de lois spéciales ou des exemptions de la législation du travail régulières dans la zone franche d'exportation du pays. c. Interdiction du travail forcé ou obligatoire La loi interdit le travail forcé ou obligatoire, y compris par les enfants; Cependant, de telles pratiques ont eu lieu. ré. Interdiction du travail des enfants et âge minimum pour l'emploi La loi interdit l'exploitation du travail des enfants, et il ya des règlements sur le travail des enfants fixant l'âge minimum de travail, les heures de travail, conditions de travail, et les enfants de la barre de réaliser certains travaux particulièrement dangereux; Cependant, le travail des enfants était un problème. La plupart du travail des enfants a eu lieu dans l'économie informelle où la réglementation du travail ne sont pas appliquées. Les pressions économiques et des possibilités d'éducation ont souvent poussé les familles rurales à souligner le travail sur l'éducation pour leurs enfants. L'âge minimum pour l'emploi était de 15; Cependant, les enfants de moins de 15 ans continuent de travailler dans les secteurs de travail traditionnelles, en particulier dans les zones rurales où il n'y avait pas d'application des lois sur le travail des enfants. En Août Agence nationale de la démographie et de la statistique du gouvernement a publié une enquête nationale sur le travail des enfants qui a mesuré les activités économiques des enfants au cours des 12 mois précédents. Selon l'enquête de 1.378.724 3.759.074 enfants du pays âgés de cinq et 17 ans travaillé. Le travail des enfants est particulièrement répandu dans les régions de Tambacounda, Louga et Fatick. Le travail des enfants est répandu dans de nombreux secteurs informels et familiaux tels que l'agriculture, la pêche, l'exploitation minière artisanale de l'or, des garagistes et métal et bois magasins de travail. Beaucoup d'instructeurs religieux dans les écoles coraniques ont amené de jeunes garçons de villages rurales vers les zones urbaines et les ont détenus dans des conditions de servitude, les forçant à mendier au quotidien dans des conditions ou des travaux insalubres et dangereuses dans le secteur de l'agriculture sous la menace de la punition physique. Un domaine particulièrement flagrante du travail des enfants était dans le secteur de la carrière minière et de la roche. Enfants orpailleurs, principalement entre les âges de 10 et 14 ans, travaillent environ huit heures par jour sans formation ni équipement de protection. Les enfants travaillent de longues heures dans les carrières de pierre, broyant des rocs et portant de lourdes charges sans protection. Les deux types de travail ont donné lieu à de graves accidents et la maladie à long terme. Selon une enquête du gouvernement Octobre 2007, 90 pour cent des enfants de Kaolack, Fatick, Ziguinchor et effectuer des tâches nuisibles à leur santé et à l'éducation. L'étude a également révélé que 75 pour cent des filles étaient chargées des tâches domestiques, ce qui conduit à de nombreux décrochage scolaire. Le ministère du travail et les inspecteurs de la sécurité sociale sont chargés d'enquêter et de lancer des poursuites judiciaires dans les cas de travail des enfants. Les inspecteurs peuvent visiter toute institution pendant les heures de travail afin de vérifier et d'enquêter sur le respect de la législation du travail et peuvent agir sur les conseils de syndicats ou de simples citoyens. Dans la pratique, les inspecteurs ne déclenchent des visites en raison d'un manque de ressources et comptent sur les syndicats pour signaler les contrevenants. Les inspecteurs du travail étroitement contrôlé et appliqué les règles d'âge minimum dans le secteur formel salaire faible, ce qui comprend les entreprises de l'Etat, les grandes entreprises privées et les coopératives. Cependant, il n'y avait pas de statistiques disponibles sur le nombre de violations constatées. Le gouvernement a fait prendre conscience des dangers du travail des enfants et exploitation par la mendicité à travers des séminaires avec les responsables locaux, les ONG et la société civile. Le gouvernement a également participé à un projet financé par un gouvernement étranger de retirer 3.000 enfants de 6000 et d'empêcher les autres d'entrer exploitation du travail des enfants dans l'agriculture, la pêche, la mendicité, et les services domestiques. Le gouvernement a également participé à un projet de l'OIT pour combattre le travail des enfants. Pour réduire l'incidence des exploitation par la mendicité, le ministère de la Femme, de la Famille, du Développement social et de l'Entreprenariat féminin met en œuvre un programme pour aider à soutenir 48 écoles coraniques dont les enseignants ne forcent pas leur les étudiants à se livrer à la mendicité. e. Conditions de travail acceptables Le salaire minimum national était de 209 francs CFA (environ $ 0,42) par heure, qui ne prévoit pas un niveau de vie pour un travailleur et sa famille. Le ministère du Travail est chargé de l'application du salaire minimum. Les syndicats agissent également comme gardiens et ont contribué à la mise en œuvre effective du salaire minimum dans le secteur formel. Le salaire minimum n'a pas été respecté dans le secteur informel, en particulier pour les travailleurs domestiques. Dans le secteur formel, la loi impose pour la plupart des professions un de semaine normale de travail de 40-48 heures avec au moins une période de 24 heures de repos, un mois par année de congé annuel, l'inscription dans les plans de sécurité sociale du gouvernement et de retraite, les normes de sécurité, et d'autres mesures; Cependant, l'application a été irrégulière. La loi ne couvre pas le secteur informel. Paiement des heures supplémentaires a été nécessaire dans le secteur formel. Bien qu'il existe des dispositions légales relatives à la sécurité en milieu de travail, ils ont souvent ne sont pas appliquées. Il n'y a pas de protection légale explicite pour les travailleurs qui déposent des plaintes au sujet des conditions de travail dangereuses. Les travailleurs, y compris les travailleurs étrangers ou migrants, avait le droit de se retirer de situations qui mettaient en danger la santé ou la sécurité, sans risquer de perdre leur emploi; cependant, il a rarement été exercé en raison du chômage élevé et une lenteur du système judiciaire. Le ministère du Travail, par l'intermédiaire du Bureau de l'inspection du travail, la contrainte des normes du travail. Cependant, les inspecteurs du travail ont des conditions de travail très pauvres et manquaient de transport pour effectuer efficacement leur mission